Rue des Greniers

Elle va de la rue des Glacières à la rue Saint-Marc[1].

Plaque.

Selon Adolphe Seyboth, la voie doit son nom actuel à la « construction du grand grenier à grains dans l'enclos de St-Marc » en 1870[2].

Au XVIII^e siècle, elle est considérée comme un cul-de-sac de la rue Saint-Marc et conserve cette appellation au siècle suivant[1].
Au moment de la Révolution elle prend le nom de « rue du Père-Duchêne » (1792), d'après le journal Le Père Duchesne fondé par Hébert en 1790, puis devient la « rue de Barra » en 1794[2] - [3], en hommage au jeune volontaire Joseph Bara (ou Barra), tombé héroïquement pendant la guerre de Vendée l'année précédente, à l'âge de 14 ans[4].

Après l'installation d'un Haras national à Strasbourg au début du XIX^e siècle, elle est nommée « impasse du Haras » en 1833, puis son nom est traduit par Gestütsgasse au moment de l'occupation allemande en 1872[1].
En 1912 et 1940 elle devient la Speichergasse, alternant avec « rue des Greniers » en 1920 et depuis 1945[1].

n^o 1

À proximité du bâtiment historique du collège Lucie Berger dans la rue Saint-Marc, de nouvelles infrastructures de l'établissement scolaire ont été construites dans la rue des Greniers[5].

n^o 9

Cet immeuble forme l'angle avec la rue des Glacières.

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  Dans la rue des Greniers.
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  n^o 9 depuis la rue des Greniers.
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  À l'angle des deux rues.
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  Vue depuis la rue des Glacières.

n^o 23

Après plusieurs années de travaux[6], un hôtel de luxe et une brasserie s'installent en 2013 dans les bâtiments restaurés de l'ancien haras national de Strasbourg, à l'angle de la rue des Glacières et de la rue Sainte-Élisabeth[7].

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  Travaux d'aménagement (2013).
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  Rue Sainte-Élisabeth (2021).
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  Entrée arrière de la brasserie (2021).