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Rue Neuve (Toulouse)

La rue Neuve (en occitan : carrièra Nòva) est une rue du centre historique de Toulouse, en France. Elle se situe au cœur du quartier Saint-Étienne, dans le secteur 1 de la ville. Elle appartient au secteur sauvegardé de Toulouse.

Rue Neuve
(oc) Carrièra Nòva
Image illustrative de l’article Rue Neuve (Toulouse)
La rue Neuve vue depuis la rue Perchepinte
Situation
CoordonnĂ©es 43° 35′ 50″ nord, 1° 26′ 57″ est
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Occitanie
Ville Toulouse
Quartier(s) Saint-Étienne
DĂ©but no 12 rue Perchepinte
Fin no 19 rue Montoulieu-VĂ©lane
Morphologie
Type rue
Longueur 164 m
Largeur entre 2 et 3 m
Histoire
Anciens noms Rue Neuve (début du XIVe siècle)
GĂ©olocalisation sur la carte : Toulouse
(Voir situation sur carte : Toulouse)
Rue Neuve(oc) Carrièra Nòva
GĂ©olocalisation sur la carte : France
(Voir situation sur carte : France)
Rue Neuve(oc) Carrièra Nòva

Toponymie

Plaques de rue.

La rue était déjà désignée comme Neuve au début du XIVe siècle. Elle ne changea de nom que pendant la période révolutionnaire, en 1794, lorsqu'elle fut connue comme la rue de la Morale[1].

Description

La rue Neuve est une voie publique situĂ©e dans le centre-ville de Toulouse. Elle est longue de 164 mètres. Elle naĂ®t de la rue Perchepinte et suit un tracĂ© particulièrement tortueux. Elle est par ailleurs particulièrement Ă©troite, puisque sa largeur, d'environ deux mètres, n'excède jamais trois mètres, ce qui en fait une des rues les plus Ă©troites de la ville. Elle se termine au croisement de la rue Montoulieu-VĂ©lane.

Voies rencontrées

La rue Neuve rencontre les voies suivantes, dans l'ordre des numéros croissants :

  1. Rue Perchepinte
  2. Rue Montoulieu-VĂ©lane

Histoire

Au Moyen Âge, la rue Neuve appartient au capitoulat de Saint-Étienne. Malgré son nom, elle apparaît déjà, au début du XIVe siècle, sous ce nom. Elle a toujours été bordée de dépendances et de jardins des immeubles et des maisons des rues voisines, Perchepinte, Ninau et Vélane[1]. C'est au cours du XVIIIe siècle que sont élevés la plupart des bâtiments qui bordent la rue.

Notes et références

  1. Jules Chalande, 1925, p. 323.

Voir aussi

Bibliographie

  • Jules Chalande, « Histoire des rues de Toulouse », MĂ©moires de l'AcadĂ©mie des Sciences et Belles-Lettres de Toulouse, 12e sĂ©rie, tome III, Toulouse, 1925, p. 323.
  • Pierre Salies, Dictionnaire des rues de Toulouse, 2 vol., Ă©d. Milan, Toulouse, 1989 (ISBN 978-2867263545)

Articles connexes

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