Rue Jean-Talon
La rue Jean-Talon est une voie de la ville de Montréal.
Orientation | Est-ouest[1] |
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DĂ©butant | Avenue Clanranald |
Finissant | Les Galeries d'Anjou |
Longueur | 14,1 km |
DĂ©signation | 17 janvier 1927 |
Attrait |
Marché Jean-Talon Maison de la culture Villeray—Saint-Michel—Parc-Extension |
Situation et accès
Cette rue d'orientation nord-est / sud-ouest qui s'étend des Galeries d'Anjou à l'autoroute Décarie est constituée de plusieurs tronçons, ouverts à différents moments.
Montréal possède aussi une station de métro qui se nomme Jean-Talon à l'angle de la rue Lajeunesse. On retrouve aussi sur cette rue le très couru Marché Jean-Talon.
D'autre part, dans le secteur est, la rue Jean-Talon est une artère commerciale dynamique où l'on retrouve près de 270 commerces et professionnels entre le boulevard Viau et le boulevard Saint-Michel. On y retrouve aussi le centre commercial Le Boulevard à l'intersection du boulevard Pie-IX et le Carrefour Langelier à l'angle du boulevard Langelier[2].
Origine du nom
La dénomination de la rue rappelle le premier intendant de la Nouvelle-France, Jean Talon (1625-1694).
Historique
Le premier tronçon de cette voie est ouvert en 1927, puis un prolongement majeur se fait en 1959. Certaines parties de cette voie ont porté les noms suivants: Hughes, Hopper, de Ventadour, Baugh, Isabeau, Tiffin, Bagg, Baby, Hanoteaux, de Namur, du Marché, Saint-Pascal, avenue Dresden, chemin de la Petite-Liesse, chemin de la Savane[3]. Notons que dans les limites de Ville Mont-Royal, les noms comme Avenue Dresden et Boulevard Graham continuent d'être utilisés, mais le nom «Jean-Talon» est quand même inscrit entre parenthèses.
Source
- Ville de Montréal, Les rues de Montréal, Répertoire historique, Montréal, Méridien, 1995, p. 253
Notes et références
- Au Québec, par convention, on entend par orientation est/ouest ce qui est parallèle au fleuve Saint-Laurent, même si, en réalité, le fleuve coule du sud-ouest vers le nord-est.
- Jean-Talon Est
- Service d'urbanisme de la Ville de Montréal, Toponymie, 1971, p.65