Rita Gould
Rita Gould est une actrice et chanteuse née le à Odessa dans l'Empire Russe et morte le à Los Angeles en Californie.
Biographie
Rita Gould a été actrice de théâtre dans les années 1910 et 1920[1] - [2] - [3], et se produit dans des vaudevilles, en particulier Maid in America en 1916[4] - [5] . Elle est connue pour avoir popularisé la chanson Send Me Away with a Smile[6].
Sa carrière au cinéma commence dans les années 1940, avec des rôles dans Kiss and Make-Up (1934), Girls' Dormitory (1936), He Couldn't Say No (1938), Red Barry (1938), So's Your Uncle (1943), South of Dixie (1944), Her Lucky Night (1945), The Vicious Circle (1948), et Association criminelle (The Big Combo) (1955). Elle passait souvent à la radio[7] et avait son propre programme[8]. Elle s'est aussi intéressée très tôt à la télévision[9].
Elle a été mariée à plusieurs reprises, et meurt à Los Angeles à l'âge de 90 ans.
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Notes et références
- (en) Cet article est partiellement ou en totalité issu de l’article de Wikipédia en anglais intitulé « Rita Gould » (voir la liste des auteurs).
- « Rita Gould Heads Hippodrome Bill », Spokane Chronicle,‎ , p. 11 (lire en ligne, consulté le )
- « Theatre Briefs: Loew's Metropolitan », The Chat,‎ , p. 32 (lire en ligne, consulté le )
- « Hot Weather Fails to Reduce Rita Gould's Customary Vim », The South Bend Tribune,‎ , p. 6 (lire en ligne, consulté le )
- Jane Cowl, « Is Stage Emotion Real? », Theatre Magazine, vol. 23,‎ , p. 146 (lire en ligne)
- « Rita Gould Sings Syncopated Songs with her Hands », The St. Louis Star and Times,‎ , p. 6 (lire en ligne, consulté le )
- « Her Love Saved Him From Prison, Then Her Jealousy Put Him There », The San Francisco Examiner,‎ , p. 100 (lire en ligne, consulté le )
- Dorothy Doran, « Premiere Pierre Laval to Give Radio Speech », The Akron Beacon Journal,‎ , p. 21 (lire en ligne, consulté le )
- « Rita Gould to Appear in Record's Radio Concert », Fort Worth Record-Telegram,‎ , p. 5 (lire en ligne, consulté le )
- « Plays and Players on Stage and Screen », The Courier-Journal,‎ , p. 20 (lire en ligne, consulté le )