Rafael Israelyan
Rafael Israelyan (en arménien : Ռաֆայել Իսրայելյան), né le à Tbilissi alors dans l'Empire russe et mort le à Erevan, est un architecte arménien, auteur de nombreux monuments et mémoriaux à travers le monde, dont certains réalisés post-mortem.
Rafael Israelyan
Naissance | |
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Décès |
(à 65 ans) Erevan |
Nom dans la langue maternelle |
Ռաֆայել Իսրայելյան |
Nationalité | |
Domicile |
Erevan (à partir de ) |
Formation | |
Activités | |
Enfants |
A travaillé pour |
Армпроект (d) (à partir de ) Université d'État d'ingénierie d'Arménie (- |
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Membre de |
Union des architectes de l'URSS (d) |
Site web | |
Distinctions | Liste détaillée Prix d'État Staline, 1re classe () Artiste émérite de la RSS d'Arménie (d) () Architecte du peuple de l'URSS (en) () Prix du Conseil des ministres de l'Union soviétique () |
Mémorial de Sardarapat, restaurant Tsovinar (d), Tomb of the Unknown Soldier, Yerevan (d), Armenian Genocide Memorial, Yerevan, Gajagortsneri St. (d), World War II memorial spring in Goris (d) |
Principales réalisations
Ses principales réalisations sont les suivantes[1] :
- distillerie Ararat d'Erevan (en) (entre 1937 et 1961)
- aqueduc des gorges de l'Hrazdan (en) (1949-1950)
- statue Mère Arménie à Erevan (1950–1967)
- statue de Vahagn combattant les dragons près d'Erevan (1962)
- mémorial du génocide arménien à Etchmiadzin, khatchkar (1965)
- cathédrale Saint-Vartan de New York (en), États-Unis, (1968)
- mémorial de Sardarapat commémorant la bataille de Sardarapat (1968)
- mémorial de la bataille d'Haçin à Nor-Hachn (1974)
- mémorial de la bataille de Mousa Ler à Musaler (1976)
- restauration/reconstruction de la cathédrale Saint-Serge d'Erevan (en) (1976)
- musée ethnographique de Sardarapat (1978)[2]
- mémorial de la bataille d'Abaran à Aparan (1979)
- église arménienne des Quarante-Martyrs de Milan (Italie)
- cathédrale Saint-Nersès-le-Gracieux de Montevideo (en) (Uruguay)
- Cathédrale Saint-Serge d'Erevan.
- Cathédrale Saint-Nersès-le-Gracieux de Montevideo.
- Mémorial de Sardarapat.
Hommages
- Il est récipiendaire en 1950 du prix Staline en compagnie du sculpteur Serguei Merkurov[3] pour la réalisation de Mère Arménie (alors Monument patriotique de la Victoire).
Références
- « Rafael Israelyan official web: Works », sur rafaelisraelyan.com.
- (en) Collectif, Architecture + Design, vol. 5, Media Transasia (lire en ligne), p. 25.
- (en) Collectif, Soviet Literature, Foreign Languages Publishing House (lire en ligne), p. 140.
(en) Cet article est partiellement ou en totalité issu de l’article de Wikipédia en anglais intitulé « Rafael Israelyan » (voir la liste des auteurs).
Liens externes
- (hy) (en) Site officiel
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