Réserve naturelle de Naryn
La réserve naturelle de Naryn ou réserve d’État de Naryn est une aire protégée kirghize située dans la province de Naryn. Créée en 1983, elle couvre 1 055,2 km2.

| Pays | |
|---|---|
| Province | 
Province de Naryn  | 
| Coordonnées | 
41° 25′ 50″ N, 76° 35′ 11″ E  | 
| Ville proche | |
| Superficie | 
1 055,2 km2  | 
| Type | |
|---|---|
| Catégorie UICN | 
Ia  | 
| WDPA | |
| Création | 
1983  | 
 
 | 
Description
La réserve couvre 1 055,2 km2[1]. Le cœur de la réserve est situé sur l'ubac au sud de la Naryn et les zones tampons sont situées au sud et au nord du cœur[2]. La réserve accueille des alpages, des forêts d'épicéas, des zones rocheuses, des rivières, des glaciers et des plateaux. L'altitude varie de 2 300 à plus de 4 600 m[2]. Le climat est continental montagnard[2].
Historique

La réserve naturelle de Naryn a été créée en 1983 par une résolution du Conseil des ministres de la république socialiste soviétique du Kirghizistan du 29 décembre 1983, n°671 (О создании Нарынского государственного заповедника : « Création de la réserve d’État de Naryn »)[3]. La création de la réserve s'inscrit dans l'optique de protéger le Wapiti du Tian Shan (Cervus canadensis songaricus) et les forêts d'Épicéa de Schrenk (Picea schrenkiana)[2].
Notes et références
- (en) « Naryn NR », sur https://protectedplanet.net (consulté le )
 - (en) Bastien Chaix, Wildlife Monitoring in Naryn State Reserve, Kyrgyzstan - August 2018, OSI-Panthera, (lire en ligne)
 - (ru) В.Е. Соколова, Е.Е. Сыроечковский, Заповедники Средней Азии и Казахстана, Москва «Мысль», , 399 p. (ISBN 5-244-00273-2)
 
Annexes
    Articles connexes
- Naryn, dans la province de Naryn
 - Aires protégées du Kirghizstan
 
Liens externes
- Naryn NR sur Protected Planet
 - (en) Julie Rodea, Claire Lamberta, Lucile Marescotab, Bastien Chaix, Julie Beesaua, Suzanne Bastianc, Joldoshbek Kyrbashev et Anne-Lise Cabanat, « Population monitoring of snow leopards using camera trapping in Naryn State Nature Reserve, Kyrgyzstan, between 2016 and 2019 », Global Ecology and Conservation, vol. 31, (lire en ligne)
 
