Pteleopsis hylodendron

C'est un arbre qui peut atteindre 25 ou 40 m, voire occasionnellement 50 m[2].

Le premier spécimen a été observé, en fleurs, à la fin du mois de décembre 1913, par Mildbraed entre Bipindi et Ebolowa, au sud du Cameroun[3].

L'espèce est présente dans les forêts d'autres pays d'Afrique de l'Ouest et du Centre[2].

Son bois est peu utilisé, mais convient néanmoins pour la construction[2].

Au Cameroun, c'est l'une des plantes médicinales les plus utilisées, pour traiter notamment la rougeole, la varicelle, les MST, la stérilité féminine, les dysfonctionnements hépatiques ou rénaux[4].

• (de) Gottfried Wilhelm Johannes Mildbraed, « Neue und bemerkenswerte Waldbäume aus Kamerun », in Notizblatt des Botanischen Gartens und Museums zu Berlin-Dahlem, 8, 1921, p. 61-62, [lire en ligne]
• (en) Huguette Magnifouet Nana (et al.), « Acute and sub-acute toxicity of the methanolic extract of Pteleopsis hylodendron stem bark », in Journal of Ethnopharmacology, volume 137, Issue 1, 1 September 2011, p. 70-76

• (fr) Référence Catalogue of Life : Pteleopsis hylodendron Mildbr. (Nom accepté: Terminalia hylodendron (Mildbr.) Gere & Boatwr.) Non Valide (consulté le 7 février 2018)
• (en) Référence Catalogue of Life : Terminalia hylodendron (Mildbr.) Gere & Boatwr. (consulté le 25 décembre 2020)
• (en) Référence Kew Garden World Checklist : nv (consulté le 7 février 2018)
• (en) Référence The Plant List : Pteleopsis hylodendron Mildbr. (source : KewGarden WCSP) (consulté le 7 février 2018)
• (en) Référence Tropicos : Pteleopsis hylodendron Mildbr. (+ liste sous-taxons) (consulté le 7 février 2018)
• Spécimens (Global Plants, JSTOR)