Pompe à vélo

Il existe une grande variété de pompes. Les pompes à main offrent un encombrement réduit et sont souvent conçues pour être fixées sur le vélo, généralement au cadre. Les pompes à pied sont plus efficaces et plus faciles à utiliser. Souvent équipées d'un manomètre, elles permettent un gonflage d'une grande précision.

Il existe également des pompes à cartouche de CO². Légères et faciles d'utilisation, on peut les transporter sur le vélo.

Les chambres à air des vélos sont équipées de différents types de valves, permettant la connexion à l'embout de pompe. Les pompes à vélo sont souvent équipées d'un embout réversible qui s'adapte ainsi aux valves de type Schrader et de type Presta. On peut également se procurer un adaptateur[1].

A l'intérieur de la pompe se trouvent le piston et les valves d'entrée et de sortie d'air. En tirant sur la poignée, le piston se lève et permet l'entrée de l'air. En la poussant, le piston envoie l'air vers la sortie d'air.

Les valves sont souvent protégées par un capuchon qu'il faut dévisser avant le gonflage. On connecte alors la pompe à la valve. Concernant les valves Presta, il faut également dévisser le petit écrou situé à l'extrémité de la valve avant de connecter la pompe. S'il s'agit d'une valve Schrader, la pompe peut y être connectée directement[2].

Il faut disposer de la pompe adaptée au vélo et à l'usage qui en est fait. Lors du gonflage du pneu, il convient de respecter la pression recommandée par le fabricant. Elle est souvent inscrite sur le flanc du pneu. L'utilisation du manomètre permet de s'assurer du niveau de pression. La pression peut être ajustée en fonction de l'utilisation faite du vélo. Elle doit être vérifiée très régulièrement.