Pollution Ă Paris
Il existe de nombreuses sources de pollution à Paris, notamment la pollution de l'air, mais également les nuisances sonores ou visuelles (publicité).
Pollution de l'air
Aspect Ă©cologique
Le dépassement du seuil d'alerte lié au niveau de concentration de substances polluantes dans l’atmosphère s’appuyant sur la base de connaissances de scientifiques. Tout cela réunit dans une loi, la loi de l’air (loi LAURE) qui a conduit à la mise en place de la circulation alternée depuis le mardi , et reconduite pour le jeudi suivant. En effet, la concentration moyenne des particules dont le diamètre est inférieur à 10 microns a atteint des niveaux particuliers ces jours d’, supérieur à 90 µg/m3. Durant l'épisode, une concentration maximale de 146 µg/m3 de particules a même été enregistrée en moyenne sur la journée du jeudi dans l'agglomération parisienne. Les particules fines qui sont émises par cette pollution rentrent dans notre système respiratoire et cardiovasculaire. L’infographie ci-contre nous montrent que le taux de pollution (particules fines) pénètrent dans l’organisme, au niveau des poumons ce qui peut créer des inflammations qui épaississent les bronches ce qui rend la circulation de l’air difficile, et donc qui peut engendrer des maladies pulmonaires (ex : Asthme)[1].
Aspect Ă©conomique
La pollution coûte chaque année un peu plus de 100 milliards d’euros à la France, soit 30 % de plus que le déficit de L’État. L’État va perdre également beaucoup d’argent dans les années à venir s'il n’arrive pas à réduire le taux de pollution.
Si l’État n’agit pas, la pollution de l’air aura un impact catastrophique sur la nature. Elle pourra aussi entraîner 9 millions de décès prématurés par an d’ici 2060 et coûter 1 % du PIB mondial soit quelque 2 400 milliards d'euros chaque année[2].
Aspect social
La pollution à Paris peut aussi être fatale envers les habitants de cette ville. Ces pollutions proviennent surtout des rejets de gaz à effet de serres provenant des véhicules de transport. Pendant les pics de pollution, les habitants de quartier entre pauvre et aisé ont un risque de décéder trois fois plus grand que les Parisiens normaux habitants dans les périphéries de la ville tandis que ceux qui habitent dans le centre de la ville, ont plus d’argent pour se protéger. Entre 2004 et 2009, durant les pics de pollution, 79 107 décès sont survenus à Paris en un an le plus gros de cette partie viens du fait que la pollution était très forte [3].
Notes et références
- « Infographie. Le danger des particules fines pendant un pic de pollution », Sciences et Avenir,‎ (lire en ligne, consulté le )
- « Aujourd'hui l'économie - Pollution de l’air: un coût économique important pour la France », RFI,‎ (lire en ligne, consulté le )
- « Les Parisiens sont inégaux face à la pollution », sur Le Monde.fr (consulté le )