Peintures murales du bouddhisme tibétain
Des peintures murales du bouddhisme tibĂ©tain se retrouvent dans la plupart des monastĂšres et temples bouddhistes tibĂ©tains dans les Himalaya. MalgrĂ© de nombreuses destructions au Tibet lui-mĂȘme, beaucoup d'entre eux survivent, le climat sec du plateau tibĂ©tain aidant Ă leur survie, alors que le climat humide indien a rĂ©duit la survie des peintures en Inde. Il y a quelques diffĂ©rences rĂ©gionales, mais les techniques dĂ©crites ici couvrent les peintures murales traditionnelles Ă travers cette rĂ©gion. Les peintures murales ont Ă©tĂ© exĂ©cutĂ©s sur le plĂątre de terre avec la peinture a secco [1]. Une peinture a secco (italien) est une technique de peinture dans laquelle les pigments avec leur liant sont utilisĂ©s pour peindre sur une cloison sĂšche.
Histoire
Les plus anciennes connues sont dans les grottes de Mogao, Ă Dunhuang, province du Gansu, en Chine. Ces grottes Ă©taient, Ă l'Ă©poque de la crĂ©ation de ces peintures murales, situĂ©es dans les colonies de l'Empire tibĂ©tain (629 â 877). Elles sont situĂ©es aux cĂŽtĂ©s de peintures murales du bouddhisme han (chinois : æ±äŒ äœæ) plus anciennes, et souvent d'influence grĂ©co-bouddhique.
Annexes
Notes et références
- Agrawal, O.P. (ed.) (1989) "Wall Paintings - Asian Perspective. In: Wall Paintings of India- A Historical Perspective. Lucknow, p.1.