Pascual Márquez
Pascual Márquez DĂaz, nĂ© Ă Villamanrique de la Condesa (Espagne, province de SĂ©ville) le , mort Ă Madrid (Espagne) le , Ă©tait un matador espagnol.
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(Ă 26 ans) Madrid |
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Présentation
Il Ă©tait fils d’un vacher de la ganaderĂa de Moreno SantamarĂa. Cette parentĂ© l’orienta vers l’art taurin et lui permit de faire ses premières armes dans les tientas et dans quelques festivals.
Il dĂ©bute en public en novillada avec picadors Ă SĂ©ville (Espagne) le aux cĂ´tĂ©s de Mariano RodrĂguez, « Pepete de Triana » et « Alcalareño », face Ă des novillos de la ganaderĂa de Esteban González. Il remporte un succès notable qui lui permet de se prĂ©senter Ă Madrid le 14 juillet suivant aux cĂ´tĂ©s de Eduardo SolĂłrzano et de « Morateño », face Ă des novillos de la ganaderĂa de Terrones. Il devient alors l’un des novilleros les plus en vue de son Ă©poque.
Il aurait dĂ» prendre l'alternative au cours de l’annĂ©e 1936, mais la guerre civile l’en a empĂŞchĂ©. Il la prend finalement Ă SĂ©ville le , avec comme parrain Luis Fuentes Bejarano et comme tĂ©moin Domingo Ortega face Ă des taureaux de la ganaderĂa de Pablo Romero. Il la confirme Ă Madrid le avec comme parrain Nicanor Villalta et comme tĂ©moin « Pericás » face Ă des taureaux de la ganaderĂa de don Francisco Chica.
Il était considéré par ses contemporains comme n’ayant que peu de style, mais courageux et volontaire. Aussi avait-il réussi à acquérir une grande popularité auprès du public qui l’avait surnommé « El tesoro de la Isla » (« le trésor de l’Île »).
Le , dans les arènes de Madrid, il est gravement blessĂ© par le taureau « Farolero » de la ganaderĂa de Concha y Sierra[1]. Il meurt Ă Madrid le suivant.