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Ombella-M'Poko

Ombella-M'Poko est l'une des 20 préfectures de la République centrafricaine.

Ombella-M'Poko
Ombella-M'Poko
Localisation de l'Ombella-M'Poko en RĂ©publique centrafricaine
Administration
Pays Drapeau de la RĂ©publique centrafricaine RĂ©publique centrafricaine
Préfecture Ombella-M'Poko
chef-lieu Boali
Sous-préfectures Damara, Bogangolo, Boali, Bossembélé, Yaloké
DĂ©mographie
Population 356 725 hab. (2003)
DensitĂ© 11 hab./km2
GĂ©ographie
Superficie 3 182 500 ha = 31 825 km2

    Sa superficie est de 31 825 km2 pour une population de 356 725 habitants en 2003[1]. Son chef-lieu est Boali et les sous-prĂ©fectures sont Boali, Damara, Bossembele, YalokĂ© et Bogangolo[2]. Elle doit son nom Ă  deux affluents de l'Oubangui: l'Ombella et la Mpoko.

    Situation

    Administration

    L'Ombella-M'Poko constitue avec la Lobaye, la région des Plateaux, numéro 1 de la République centrafricaine[3].

    Sous-préfectures et communes

    L'Ombella-M'Poko est divisée en cinq sous-préfectures et sept communes[4]. Depuis décembre 2020, Bimbo et Bégoua sont rattachées à la préfecture de Bangui :

    Sous-préfecturescommunessuperficie
    (km²)[5]
    population
    (hab. 2015)[6]
    villages
    (nbre 2003)[7]
    quartiers
    (nbre 2003)[7]
    BimboBĂ©goua3 202,74276 04214740
    Bimbo
    BoaliBoali4 708,9530 670670
    BogangoloBogangolo4 817,059 250430
    BossembéléBossembélé5 191,4230 5424623
    La Mbi2 231,4310 825400
    DamaraDamara6 884,9526 3926814
    YalokéYaloké2 081,8633 3454818
    Guézéli2 795,3921 904440

    Préfets successifs

    • Marie-Clotilde Mboibo, Ă  partir de 2003[8]
    • Victor Bissekoin[9]
    • Clotilde Namboy, de 2011 Ă 
    • Denise Madina DuekoĂ©, installĂ©e le [10]

    Économie

    La préfecture se situe dans la zone de cultures vivrières à manioc et bananes plantains dominants, maïs, arachide, sésame, macabo et courges. La partie Nord autour de Yaloké est une zone d'élevage bovin. Les ressources minières sont constituées par les gisements non exploités de fer à Bogoin et par les mines d'or exploitées au nord de Yaloké. L'industrie est représentée par les centrales hydroéléctriques de Boali[11].

    Références

    1. « POPULATION PREFECTURE », sur stat-centrafrique.com via Wikiwix (consulté le ).
    2. Pierre Saulnier, Le Centrafrique. Entre mythe et réalité, L'Harmattan 1997, p.32
    3. loi 96.013 du 13 janvier 1996, portant création des régions
    4. http://reliefweb.int/sites/reliefweb.int/files/resources/Atlas_2013_CAR_0426.pdf
    5. Nations Unies OCHA, Humanitarian Response, Pcode 15 janvier 2015
    6. Coordination des Affaires Humanitaires des Nations Unies, Humanitarian Response, Projection population 2015 de la RCA.
    7. Recensement général de la population et de l'habitat, 2003
    8. décret N° 03.019 : Portant nomination ou confirmation des préfets, http://www.sangonet.com/ActualiteC16/prefets_16_decrets_nett.html
    9. « Centrafrique : Plus de transparence dans les industries extractives - CENTRAFRIQUE EN LIGNE - ACTUALITES SUR LA RCA », sur CENTRAFRIQUE EN LIGNE - ACTUALITES SUR LA RCA (consulté le ).
    10. décret 13.109 du 22 mai 2013, http://www.journaldebangui.com/article.php?aid=4916
    11. Atlas de l'Afrique, Éditions du Jaguar, Paris, 2011 (ISBN 978-2-86950-465-3)
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