Olga Savary
Olga Savary (née à Belém le et morte le à Teresópolis (Rio de Janeiro)[1]) est une poétesse et traductrice brésilienne[2].
Naissance | |
---|---|
Décès |
(Ă 86 ans) TeresĂłpolis |
Nationalité | |
Activités |
Distinction |
---|
Biographie
Sa mère, Célia Nobre de Almeida, venait du Pará et son père Bruno était un ingénieur russe. Elle passe son enfance à Belém, à Monte Alegre, à Fortaleza et à Rio de Janeiro.
En 1942, ses parents se séparent et Olga Savary va vivre chez le frère de sa mère à Rio de Janeiro. Là , elle commence son amour par l'écriture. Sa mère préférait une carrière musicale pour elle et Olga Savary cachait ses écrits et un ami bibliothécaire de l' ABI les gardait. La cohabitation entre les deux est devenue difficile et quand Olga Savary avait 16 ans, envisage de déménager pour vivre avec son père.
À 18 ans, il rentre à Belém et étudie au Colégio Moderno. Plus tard, elle rentre à Rio.
Elle a travaillé pour plusieurs publications et est membre du PEN club.
Ĺ’uvre
Conte
- 1997 - O Olhar Dourado do Abismo
Poésie
- 1970 - Espelho ProvisĂłrio (prix Jabuti)
- 1977 - Sumidouro
- 1979 - Altaonda
- 1982 - Magma
- 1982 - Natureza Viva
- 1986 - Hai-Kais
- 1987 - Linha d'água
- 1987 - Berço Esplendido
- 1989 - Retratos
- 1994 - Rudá
- 1994 - Éden Hades
- 1996 - Morte de Moema
- 1996 - Anima Animalis
- 1998 - RepertĂłrio Selvagem
Références
- (pt-BR) , sur cultura.estadao.com.br
- (pt-BR) , sur itaucultural.org.br
- (pt-BR) « As à guas de Olga Savary », folhadelondrina.com.br,‎ (lire en ligne, consulté le )