Nick Brandt

Il a étudié la peinture, puis le cinéma au Central Saint Martins College of Art and Design.

Peter Singer a dit : « Les extraordinaires photographies de Nick Brandt dressent le portrait des animaux tels que le premier environnementaliste américain, Henry Beston, les voyait, c'est-à-dire non comme nos subalternes, mais en tant qu'« autres nations », camarades « prisonniers comme nous de la splendeur et du travail de la terre ». Mais, pour prendre ce genre de photographies, il lui faut être plus qu'un artiste[1]. Il doit être un observateur extrêmement patient de chacune des bêtes, des sociétés animales et de l'environnement dans lequel les sujets évoluent. Sa vision des animaux est un antidote à l'arrogance humaine. Ses photographies nous disent, d'une façon qui va bien au-delà des mots, que nous ne possédons pas cette planète, que nous n'en sommes pas ses seuls habitants »[2].

• 2011 : Fotografiska, Stockholm
• 2013 : Galerie photo et art contemporain Paris[3]'[4]
• 2015 : Fotografiska, Stockholm
• 2019 : Festival Photo La Gacilly[5]

• Nick Brandt et Alice Sebold (Préface), Vivre sur cette terre, Gallimard Loisirs, 2005, 128 p. (ISBN 978-2-7424-1637-0)
• Nick Brandt, On This Earth, Chronicle Books, 2005
• Nick Brandt, A Shadow Falls, Abrams, 2009
• Nick Brandt, Vicki Goldberg (en) et Peter Singer, L'Afrique au crépuscule, Editions de la Martinière, 2009, 128 p. (ISBN 978-2-7324-3994-5)
• Nick Brandt, On This Earth, A Shadow Falls, Big Life Editions, 2010
• Chronique d'une terre dévastée (Photographies), La Martinière, 2013, 120 p. (ISBN 978-2-7324-5878-6)
• (en) Nick Brandt : This empty world (trad. Nick Brandt : Ce monde vide (Photographies)), Thames & Hudson Ltd, 2019, 128 p.
• (en) Nick Brandt The Day May Break (trad. Nick Brandt Le jour de mai), Hatje Cantz, 2021, 168 p. (ISBN 978-3-7757-5089-9)

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