Mobilité résidentielle
La mobilité résidentielle désigne le changement de lieu de résidence d'un foyer. L'INSEE la définit comme le fait d'avoir changé au moins une fois de logement durant les cinq dernières années[1]. La mobilité résidentielle est l'une des dimensions de la mobilité spatiale, l'exode rural, la néo-ruralité, la gentrification ou encore l'héliotropisme, par exemple, impliquent ce type de mobilité.
Les parcours résidentiels et les motifs des habitants à déménager peuvent être analysés à différentes échelles spatiales[2] - [3].
Notes et références
- « Ça déménage ? La mobilité résidentielle et ses déterminants − Les conditions de logement en France », sur insee.fr (consulté le )
- Pierre Cliche, Espace social et mobilité résidentielle, Presses Université Laval, , p. 37-38.
- Denis Morin, « Québec : espace social et mobilité résidentielle », L'Espace géographique, vol. 10, no 2, , p. 155–156 (lire en ligne, consulté le )
Voir aussi
Bibliographie
- Donzeau N. et Pan Ké Shon J.-L., La mobilité résidentielle depuis la fin des Trente Glorieuses, Paris, INED, documents de travail, n° 159, 2009, 43 p.
- Lévy Jean-Pierre, « Dynamique du peuplement résidentiel » in : Sociétés contemporaines, n°29, 1998, p. 43-72. DOI : 10.3406/socco.1998.1841 (Lire en ligne).
- Laurent Gobillon, « Emploi, logement et mobilité résidentielle », Économie et statistique, n° 349-350, 2001, (lire en ligne) (consulté le 4 février 2022)
- Jean-Louis Pan Ké Shon, Nathalie Donzeau, « La mobilité résidentielle depuis la fin des Trente Glorieuses », INED, Documents de travail, n° 159, 2009, 34 pages (lire en ligne) (consulté le 4 février 2022).
Articles connexes
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