Meganne Christian

À l'Agence nationale italienne de la recherche (CNR) à Bologne, elle a travaillé sur la production et la caractérisation microscopique de nanocomposites à base de graphène[1] - [2] en particulier les structures 3D de graphène telles que les mousses de graphène, dans le cadre du Graphene Flagship de l'UE[3]. Cela comprend des recherches en apesanteur en 2018, étudiant l'application de caloducs en boucle pour la gestion de la chaleur des satellites[4] - [5]. Elle occupe le poste de physicienne de l'atmosphère et de météorologue à la base de recherche antarctique franco-italienne Concordia lors de la campagne de l'hiver 2019[6] - [3] - [7] - [8] - [9] - [10] et la saison d'été 2020-21[11] - [12].

Née dans le Kent en Angleterre, de parents néo-zélandais, à cinq ans, elle déménage avec sa famille à Wollongong en Australie[6]. Elle fréquente la Illawarra Grammar School[13] et fait partie de l'équipe du championnat international de l'école en 2002 du Future Problem Solving Program International[14] - [15]. Étudiante à l'Université de Nouvelle-Galles du Sud (UNSW), elle obtient en 2009 un baccalauréat en ingénierie et la médaille universitaire en chimie industrielle[16]. Toujours à l'Université, elle obtient le prix Heinz Harant en 2011[17] et un doctorat en 2014 pour ses recherches sur le stockage de l'hydrogène avec des borohydrures[18] - [19].

Elle déménage ensuite à Bologne et travaille à l'Institut de microélectronique et des microsystèmes (IMM) du Conseil national de la recherche d'Italie[20] - [6] - [21]. En 2021, l'ambassadeur d'Australie en Italie la met en vedette dans le cadre de la Journée internationale des femmes et des filles de science[22].

En 2022, elle est sélectionnée comme membre de la réserve des astronautes par l'Agence spatiale européenne[23].

Elle obtient la nationalité italienne en 2022. Elle a également les nationalités britannique, australienne (en) et néo-zélandaise (en)[23].