Maxime Sommeron
Maxime Lucien Maurice Sommeron, né le à Neyron[1] et mort le [2] à Lyon, est un architecte et un résistant français du Camp Didier. Il a été maire de Neyron de 1965 à 1983. Il est enterré au cimetière de Neyron.
Maire de Neyron | |
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- | |
Pierre Racine (d) |
Naissance | |
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Décès |
(Ă 85 ans) 5e arrondissement de Lyon |
SĂ©pulture |
Cimetière de Neyron (d) |
Nom de naissance |
Maxime Lucien Maurice Sommeron |
Nationalité | |
Formation | |
Activités |
Conflit | |
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Distinctions |
Biographie
Durant la Seconde Guerre mondiale, il est résistant et participe, sous le nom de Max, aux activités du Camp Didier[3]. Il commande la 3e compagnie, formé par des volontaires du maquis de Tramoyes[4].
Architecte de profession, il a réalisé la mairie de Thil dans l'Ain[5], construite en 1965.
Il est élu maire de Neyron en 1965, puis plusieurs fois réélu, il conserve la mairie jusqu'en 1983. En 1969, il est battu à l'élection cantonale du canton de Montluel par Pierre Cormorèche[6].
Il y a une place Maxime-Sommeron Ă Neyron.
Vie personnelle
Maxime Sommeron est le fils de Joseph Sommeron (boucher de profession) et de Jeanne Coron[1]. Il se marie avec Jeanne Françoise Bernay le à Miribel[1].
Bibliographie
- Collectif, Almanach du Combattant 1990, Comité national du souvenir de Verdun, (ASIN B00M72P14E)
Références
- « Registre des naissances de Neyron, année 1913, p. 2 / 7 », sur archives-numerisees.ain.fr.
- État civil sur le fichier des personnes décédées en France depuis 1970
- « Bataillon Berthier », Secteur Fortifié du Dauphiné (consulté le ).
- Pierre Gouttard, Le sang des ombres : 1939-1945, P. Gouttard, 1992, p. 91, [lire en ligne].
- Ouvrage collectif, Richesses touristiques et archéologiques du canton de Miribel : Miribel, Beynost, Neyron, Saint-Maurice-de-Beynost, Thil, , 207 p. (ISBN 2-907656-27-9), p. 193.
- « Une élection municipale », Le Monde, .