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Marylène Volpi Fournier

Marylène Volpi Fournier, née Volpi en 1968 (originaire de Mase et Nendaz, binationale italo-suisse), est une enseignante et femme politique valaisanne, membre des Verts.

Marylène Volpi Fournier
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Biographie
Naissance
Nationalité
Suisse
Italie
Formation
Université de Lausanne
Activité
Enseignante au lycée-collège de la Planta à Sion

Biographie

Marylène Volpi naît en 1968. Elle est originaire de Mase et Nendaz, dans le canton du Valais, et de Pontremoli, en Italie[1].

Elle enseigne successivement à l'École Ardévaz de Monthey, à l'École suisse du tourisme à Sierre et à la Haute École Pédagogique de Saint-Maurice. Elle est ensuite engagée comme professeure d'italien au Lycée-Collège de la Planta à Sion où elle enseigne la philosophie et l'italien[2]. Depuis 2010, elle préside la Fédération des Magistrats, Enseignants et Personnel de l'État du Valais[1].

Mariée et mère de deux enfants, elle réside à Sion[1] - [3].

Parcours politique

Elle est conseillère générale de la ville de Sion du au [1].

Elle est élue députée au Grand Conseil en 2005 et réélue en 2009 et 2013. De 2007 à 2009, elle y préside la Commission Agriculture, Tourisme et Environnement. Elle est membre de la Commission des finances[1]. Lors de sa dernière législature, elle devient co-présidente du comité d'initiative pour la révision totale de la Constitution valaisanne[4], qui aboutira à l'élection de l'Assemblée constituante valaisanne.

Lors des Ă©lections cantonales de 2009, elle se prĂ©sente Ă  l'Ă©lection au Conseil d'État pour Les Verts. Elle arrive en septième position au premier tour (16 000 voix) et retire sa candidature pour le deuxième tour[5]. En 2015, elle se prĂ©sente aux Ă©lections du Conseil national[6] - [7], mais n'est pas Ă©lue[8]. Elle fait campagne pour la sortie du nuclĂ©aire et sur une rĂ©forme de la fiscalitĂ© « qui taxe moins le travail ou son produit, mais plus la consommation des ressources »[9]. Elle se prononce Ă©galement sur la tenue des Jeux olympiques, prĂ´nant un non lors du vote de juin 2018[10] - [11].

En janvier 2020, elle succède à Christophe Clivaz au Conseil communal (législatif) de Sion[12] - [13]. Elle devient la nouvelle présidente de la société de développement de Sion[14].

Au niveau associatif, elle est membre fondatrice de l’association Parspas, association pour la prévention du suicide[1]. Elle est membre de l'association Via Mulieris.

Notes et références

  1. « Marylène Volpi Fournier », sur Les Verts Valais, (consulté le )
  2. « Corps enseignant », sur Lycée Collège de la Planta (consulté le )
  3. Vincent Fragnière et Romain Carrupt, « Marylène Volpi Fournier: «Je peux être une alternative au 2e tour» », sur Le Nouvelliste, (consulté le )
  4. « Constituante: débat contradictoire entre Marylène Volpi Fournier et Jérôme Desmeules », sur Canal9, (consulté le )
  5. « VS: la candidate écologiste Marylène Volpi Fournier renonce au Conseil d'Etat », sur Radio télévision suisse, (consulté le )
  6. SG, « Marylène Volpi en terre inconnue », Le Nouvelliste,‎
  7. « Marylène Volpi Fournier candidate au National », sur 20 Minutes, (consulté le )
  8. « Elections au Conseil national 2015 », sur Canton du Valais (consulté le )
  9. « Nationales 2015 : Marylène Volpi Fournier candidate au Conseil National » (consulté le )
  10. « «Personne n’a perdu, personne n’a gagné, mais on a tous dit m… au CIO» », Le Temps,‎ (ISSN 1423-3967, lire en ligne, consulté le )
  11. « Les Valaisans rejettent à 54% le projet de Jeux olympiques à Sion », sur rts.ch, (consulté le )
  12. « Sion: Marylène Volpi Fournier succédera à Clivaz au Conseil municipal dès janvier », Le Nouvelliste,‎ (lire en ligne)
  13. Oriane Binggeli, « Marylène Volpi Fournier devient présidente de la Société de Développement de Sion/Sion Tourisme », sur www.rhonefm.ch, (consulté le )
  14. Agence télégraphique suisse, « Précieux documents d'archives présentés au public à Sion (VS) », sur swissinfo.ch, (consulté le )
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