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Martial Servantes

Martial Servantes, né le , est un joueur français de rugby à XV qui évolue au poste de centre[1] ou d'ailier.

Martial Servantes

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Fiche d'identité
Naissance
Taille 1,68 m (5′ 6″)
Poste Centre, ailier
Carrière en senior
PériodeÉquipeM (Pts)a
-1994
1994-
FC Grenoble
US Vinay


a Compétitions nationales et continentales officielles uniquement.
Dernière mise à jour le 26 octobre 2012.

Biographie

Martial Servantes dispute la saison 1991-1992 avec le FC Grenoble qui Ă©choue Ă  la course au Brennus en demi-finale 13 Ă  9 face au Biarritz olympique[2].

Il fait partie de l'équipe des Mammouths de Grenoble[3] - [4] qui est vice-champion de France 1993, défait 14 à 11 par le Castres olympique sur une erreur d'arbitrage[5], dans une finale considérée comme l'un des plus gros scandales du rugby français[6].

L'année suivante, le club alpin atteint les demi-finales du championnat de France 1993-1994, défait 22 à 15 par l’ AS Montferrand[7].

Il termine sa carrière à l'US Vinay et dispute notamment le championnat de 1e division groupe B avec Stéphane Weller, Franck Capdeville, Willy Pepelnjak, Christophe Monteil, Gilles Claret et Charl Snyman, tous anciens grenoblois[8].

Palmarès

Avec le FC Grenoble

Notes et références

  1. « Servantes Martial », sur finalesrugby.fr (consulté le ).
  2. « Demi-finales: quatre équipes en quête de hauteur », L'Humanité,‎ (lire en ligne, consulté le )
  3. Nicolas Zanardi, « En 1993, les mammouths grenoblois victimes d'une polémique en finale », Midi olympique.
  4. Escot et Rivière 2009, p. 268
  5. Clément Garioud, « Ces sombres affaires qui ont entaché la réputation du rugby français », sur https://actu.fr, (consulté le )
  6. Le Journal du Rugby n°21 - Juin 2012 - Page 31, « "Merluche sort les couteaux !" », sur http://fr.1001mags.com/, 21 de juin 2012 (consulté le )
  7. « Fiche Match Demi-finale : Montferrand-Grenoble 93-94 », sur www.cybervulcans.net (consulté le )
  8. « LYONNAIS : une autre terre de rugby - Stéphane Weller : Un ex-international au parcours atypique chez les anciens de Saint-Genis-Laval », sur ufargrlyon.free.fr (consulté le )
  9. Réginald Mouyan, « Michel Ringeval (Part 2): « Au bout d'un quart d'heure, j'ai compris qu'on en gagnerait pas» », Le Sport Dauphinois,‎ (lire en ligne, consulté le )

Annexes

Bibliographie

Liens externes

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