Marie-Victorine Perrier

Ses écrits eurent un succès important au début du XIX^e siècle, en particulier sa pièce L'Emprunteur, jouée au Théâtre de la Porte-Saint-Martin en 1820[1].

Outre de nombreuses poésies et des chansons publiées dans la presse, on lui doit :

• Récréations d'une bonne mère avec sa fille ou Instructions morales sur chaque mois de l'année à l'usage des jeunes demoiselles, 1804
• Adresse de Marie-Victorine Perrier aux Français, 1815
• L'Emprunteur, comédie en 1 acte et en vers, 1817
• Stances à ma Fille, posthume, 1850

• Louis Marie Prudhomme, Biographie universelle et historique des femmes célèbres mortes ou vivantes, vol.4, 1830, p. 55
• François-Xavier Feller, Charles Weiss, Biographie universelle, 1849, p. 444

• Notices d'autorité :

  • BnF (données)