Madeleine Rossi
Madeleine Rossi, née en 1935 et morte le , est une personnalité politique genevoise, membre du parti libéral.
Madeleine Rossi | |
Fonctions | |
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Conseillère administrative de Genève | |
– (5 ans, 3 mois et 24 jours) |
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Élection | 28 janvier 1990 |
RĂ©Ă©lection | 5mai1991 |
Prédécesseur | Claude Haegi |
Successeur | Pierre Muller |
Maire de Genève | |
– (11 mois et 30 jours) |
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Prédécesseur | Jacqueline Burnand |
Successeur | Michel Rossetti |
Présidente du Parti libéral genevois | |
– (2 ans) |
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Successeur | Martine Brunschwig Graf |
Conseillère municipale de Genève | |
– (10 ans, 8 mois et 6 jours) |
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LĂ©gislature | 1979-1983, 1983-1987, 1987-1991 |
Successeur | Pierre Muller |
Biographie | |
Date de naissance | |
Date de décès | (à 73 ans) |
Nationalité | Suisse |
Parti politique | PLS (1979-2008) |
Profession | Banquière |
Conseillers administratifs de Genève Maires de Genève |
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Vie professionnelle
Originaire de Fribourg et fille de syndic[1], Madeleine Rossi entame sa vie professionnelle dans le domaine bancaire[2].
Carrière politique
Elle se lance en politique en 1979, où elle entre au parti libéral suisse et accède au conseil municipal de la ville de Genève, qu'elle présidera en 1984-1985[3] - [4]. Elle préside aussi le parti libéral genevois entre 1986 et 1988.
En 1990, elle devient conseillère administrative (exécutif) de la ville de Genève à la suite du départ de Claude Haegi, élu au Conseil d'État genevois en novembre 1989[3]; elle prend la direction du département des Finances.
Elle est réélue en 1991. De plus, elle est maire de Genève en 1993-1994.
Elle ne se représente pas lors des élections de 1995 pour des raisons familiales et politiques. En effet, elle a vécu une année de mairie (1992-1993) compliquée puisque son mari, ancien administrateur de Sasea Holding, fut inculpé de banqueroute[1]. C'est son successeur du même parti qu'elle (parti libéral), Pierre Muller, qui reprend le département des Finances.
Retraite et hommages
Elle fut qualifiée de femme de conviction, conviviale, avec à la fois un franc-parler, mais aussi une grande capacité d'écoute et de respect pour ses adversaires politiques[5].
Références
- « Décès de l'ancienne maire de Genève », sur 20 Minutes (consulté le )
- « Genève perd son ancien maire », sur La Liberté (consulté le ).
- « Conseillères et Conseillers administratifs », sur archives.geneve.ch.
- « Séance du Conseil municipal », sur Archives municipales (consulté le )
- http://christianbrunier.blog.tdg.ch/archive/2008/12/18/un-salut-sincere-a-madeleine-rossi.html
- http://www.hommages.ch/Announcements/pdf/76BEE69211F7A76BA3DDB5D9CC167123.pdf