Lynda Koudache
Lynda Koudache, romancière et poétesse algérienne d'expression berbère kabyle et française.
Biographie et parcours
Originaire de la région Ouacif dans la Wilaya de Tizi Ouzou[2]. Elle est autodidacte et a débuté la poésie en premier[3]. Durant l'année 2001, Lynda Koudache est collaboratrice dans le Cahier littéraire des éditions du Petit Pavé, ensuite, elle a collaboré dans un autre ouvrage collectif de poésie, aux même éditions dont le titre est Comme une forêt de mots dits[3]. Lynda Koudache est également auteure d'un recueil de poésie en langue française, Lligh uqbel ad Iligh et L'Aube vierge en langue berbère[3]. En 2006, elle s'est initiée au genre littéraire la nouvelle, en écrivant Témoin de la vie, dans un ouvrage collectif dont le titre est Le temps qui passe, qui a été publié en France[3].
Elle préfère écrire dans sa langue maternelle le berbère, kabyle[4]. et est la première romancière en langue berbère[2], en kabyle[4]. Lynda Koudache participe et anime lors de rencontres littéraires concernant l'écriture berbère et la culture berbère[2]. En 2017 , elle est conférencière à Ottawa, invitée par la fondation Tiregwa, ensuite elle anime des présentations à l'école INAS (École de tamazight à Montréal) en présence de la journaliste Djamila Adar, elle a accordé également un entretien avec Tamazgha Monde TV à la fin[4], lors de l'atelier d’écriture, ensuite elle a fait une autre conférence lors de la 2eédition du mois Amazigh de Montréal, organisé la Fédération des Amazighs de l'Amérique du Nord[4]. Elle a rencontré les membres de l'association Centre Amazigh de Montréal (CAM)[4].
Livres
Prix
En 2006, Lynda Koudache a obtenu le Prix d'encouragement international au forum des femmes de Méditerranée-France pour sa nouvelle Anagi N Tudert, traduite ne français dont le titre est Le témoin de la vie[3] - [4].Également , le Prix d'excellence national pour la nouvelle en berbère Anagi N Tudert. En 2004, Elle a eu 1er prix lors du concours du 1er novembre à Tizi Ouzou, remis par le ministère de la Culture algérienne[3].
En 2016, au Salon international du livre d'Alger, Lynda Koudache a été Lauréate du grand prix littéraire Assia Djebar[2].
Notes et références
- Aomar MOHELLEBI, « Première romancière en langue amazighe », sur L'Expressiondz,
- Aomar Mohellebi, « Première romancière en langue amazighe », L'expression (Algérie), (lire en ligne)
- A Tahraoui, « Lynda Koudache publie Tamachahut Taneggarut », El Watan, (lire en ligne)
- Racid At Ali uQasi, « Conférence de Lynda Koudache le 7 mai au centre communautaire de Heron à Ottawa », Le Matin d'Algérie, (lire en ligne, consulté le ).