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Lucille Farrier Stickel

Lucille Farrier Stickel (née le - morte le ) est une toxicologue et zoologiste américaine. Elle a dirigé le Patuxent Wildlife Research Center (en) de 1972 à 1982. Ses recherches se sont concentrées sur les contaminants dans les écosystèmes sauvages ainsi que sur les effets du pesticide dichlorodiphényltrichloroéthane. Ces recherches ont notamment servi de base à l'ouvrage Printemps silencieux de Rachel Carson[1].

Lucille Farrier Stickel
Fonction
Directrice
Patuxent Wildlife Research Center (en)
-
Biographie
Naissance
Décès
(Ă  92 ans)
Asheville
Nationalité
Formation
Activités
Conjoint
William Henson Stickel (d)
Autres informations
Membre de
Distinction

Elle est également la première femme à avoir été scientifique senior au gouvernement américain ainsi qu'à avoir dirigé un laboratoire de recherche d'envergure nationale[2].

Jeunesse et formation

Lucille Farrier Stickel naît à Hillman (Michigan)[3]. Elle obtient un baccalauréat universitaire ès sciences de l'université d'Eastern Michigan en 1936 et est membre de Phi Beta Kappa. Elle fréquente ensuite l'université du Michigan, où elle obtient une maîtrise (1938) et un doctorat (1949)[2].

Vie privée

Lucille Stickel a été mariée à William Henson Stickel[4] - [5].

Notes et références

  1. (en) « Lucille Farrier Stickel: Research Pioneer », sur National Wildlife Refuge, United States Fish and Wildlife Service, (consulté le )
  2. (en) « Lucille Farrier Stickel », sur Michigan Women's Historical Center and Hall of Fame, Michigan Humanities Council, (consulté le )
  3. (en) Marquis Who's Who, LLC, Who's Who in Government, Volume 3, Marquis Who's Who, Incorporated, (ISBN 978-0-8379-1203-5, lire en ligne), p. 584
  4. (en) Bo Beolens, Michael Watkins et Michael Grayson, The Eponym Dictionary of Reptiles, Johns Hopkins University Press, , 312 p. (ISBN 978-1-4214-0227-7, lire en ligne)
  5. (en) N. C. Coon et M. C. Perry, « Lucille F. Stickel, 1915–2007 », Journal of Wildlife Management, The Wildlife Society (en), vol. 71, no 8,‎ , p. 2827–2828 (DOI 10.2193/2007-333, lire en ligne, consultĂ© le )

Liens externes

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