Louise Myriel
Louise Myriel, née au XIXe siècle et morte au XXe siècle, est une chanteuse « légère » française d'opéras et d'opérettes.
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Biographie
Née à Limoges, elle fait ses études au conservatoire de Bordeaux où elle obtient trois premiers prix (chant, opéra-comique et solfège), puis vient pour se perfectionner au conservatoire de Paris où elle suit les cours d'Eugène Crosti et Léon Achard. Elle fait ses débuts en 1898 à Bruxelles, au théâtre des Galeries, dans le rôle de Lilia des Amours du Diable. Louis Debruyère, directeur du théâtre de la Gaité, la choisit pour chanter le rôle de Marie dans Les Mousquetaires au Couvent[1].
Elle fait partie de la troupe du Grand-Théâtre de Reims pour la saison 1904-1905[2] et 1905-1906[3], de la troupe du casino des fleurs de Vichy en 1913[4].
Représentations
- 1899 : Les Mousquetaires au Couvent, de Louis Varney, livret de Jules Prével et Paul Ferrier, reprise à la Gaîté-Lyrique, Marie de Pontcourlay[5] - [6] - [7].
- 1900 : Rip, opérette de Robert Planquette, Nelly[8].
- 1901 : Capitaine Thérèse, opéra-comique d'Alexandre Bisson, musique de Robert Planquette, création à la Gaîté-Lyrique, Marceline[9] - [10] - [11].
- 1901 : L'Auberge du Tohu-Bohu, vaudeville-opérette, paroles de Maurice Ordonneau, musique de Victor Roger, à la Gaîté-Lyrique, Cécile Drèmer[12] - [13].
- 1901 : Les Cloches de Corneville, opéra-comique de Robert Planquette, livret de Clairville et Charles Gabet, à la Gaîté-Lyrique, Germaine[14] - [15] - [16].
- 1903 : La Revue des Folies-Bergère[17].
- 1903 : Hérodiade, de Jules Massenet, livret de Paul Milliet et d'Henri Grémont au Grand-Théâtre de Reims, Salomé[18].
- 1905 : Fedora, opéra d'Umberto Giordano, au Grand-Théâtre de Reims, Fedora[19].
Notes et références
Notes
Références
- « Le Photo-programme », sur Gallica, (consulté le )
- « Le Monde artiste », sur Gallica, (consulté le )
- « Le Monde artiste », sur Gallica, (consulté le )
- « Le Bulletin de Vichy », sur Gallica, (consulté le )
- « Gil Blas », sur Gallica, (consulté le )
- « Le Ménestrel », sur Gallica, (consulté le )
- « Le Monde artiste », sur Gallica, (consulté le )
- « Le Figaro », sur Gallica, (consulté le )
- « Le Figaro », sur Gallica, (consulté le )
- « Gil Blas », sur Gallica, (consulté le )
- « Gil Blas », sur Gallica, (consulté le )
- « Le Figaro », sur Gallica, (consulté le )
- « Gil Blas », sur Gallica, (consulté le )
- « Le Figaro », sur Gallica, (consulté le )
- « Gil Blas », sur Gallica, (consulté le )
- Édouard Noël Edmond Stoullig, Les Annales du théâtre et de la musique, Librarie Paul Ollendorff, (lire en ligne)
- « Le Figaro », sur Gallica, (consulté le )
- « La Jeune Champagne », sur Gallica, (consulté le )
- « Gil Blas », sur Gallica, (consulté le )
Annexes
Bibliographie
: documents utilisés comme source pour la rédaction de cet article :
- Le Ménestrel, Paris, 1833-1940 (lire en ligne), lire en ligne sur Gallica
- Le Monde artiste puis "illustré", Paris, 1862-1914 (lire en ligne), lire en ligne sur Gallica
- Les Annales du théâtre et de la musique.