Louise Glaum

Femme fatale, surnommée « la femme araignée », elle fait toute sa carrière dans le cinéma muet.

Une fois sa carrière hollywoodienne - de plus de cent films - achevée, en 1921 (avec un film en 1925), elle se consacre à l'art de la scène et à sa propre école d'art dramatique jusqu'à sa mort à la suite d'une pneumonie.

• 1913 : The Boomerang de Thomas H. Ince
• 1913 : Loaded Dice de Burton L. King
• 1913 : The Reaping de Burton L. King
• 1913 : For Mother's Sake de Burton L. King
• 1913 : The Impostor de Burton L. King
• 1913 : The Efficacy of Prayer de Burton L. King
• 1915 : The Cup of Life de Thomas H. Ince et Raymond B. West
• 1915 : The Toast of Death de Thomas H. Ince
• 1915 : The Darkening Trail de William S. Hart
• 1915 : Matrimony de Scott Sidney
• 1916 : Le Justicier (Hell's Hinges) de Charles Swickard, William S. Hart et Clifford Smith
• 1916 : Pour sauver sa race (The Aryan) de Reginald Barker, William S. Hart et Clifford Smith
• 1917 : Le Sexe faible (The Weaker Sex) de Raymond B. West
• 1917 : Idolators de Walter Edwards
• 1918 : Shackled de Reginald Barker
• 1918 : Wedlock de Wallace Worsley
• 1920 : The Leopard Woman de Wesley Ruggles
• 1920 : Love Madness de Joseph Henabery
• 1921 : Greater Than Love de Fred Niblo
• 1921 : La Coupable (I Am Guilty) de Jack Nelson
• 1925 : Fifty-Fifty de Henri Diamant-Berger

• 
  Louise Glaum à l'affiche de "The Goddess of Lost Lake" 1918
• 
  Louise Glaum à l'affiche de "Sahara" 1919
• 
  Photographie promotionnelle

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  • (en) AllMovie
  • (en) American Film Institute
  • (pl) Filmweb.pl
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