Louis-Étienne Journoud

Louis-Étienne Journoud étudie à l'école La Martinière de Lyon de 1840 à 1843[2]. Architecte du diocèse de Belley en 1871 et de celui de Viviers en 1892, il est également nommé architecte diocésain honoraire[2].

Il réalise les travaux d'architecture suivants[2] :

• agrandissements, aménagements, flèches ou façades de nombreux édifices religieux du Rhône, de l'Ain et de la Loire ;
• chapelle du monastère de la Visitation de Bourg-en-Bresse ;
• pensionnat de l'asile d'aliénés de Bourg ;
• pensionnat des Dames Ursulines de Trévoux ;
• couvent de la Sainte-Famille à Beaujeu ;
• couvent du Verbe-Incarné, à Villeurbanne ;
• presbytères de Bézieux, Meyriat, Birieux, Bully, Notre-Dame de Saint-Chamond ;
• écoles dans l'Ain et à Givors ;
• mairies de Sorbiers et de Sury-le-Comtal ;
• château à Villefranche-sur-Saône ;
• abattoirs de Givors ;
• villas et maisons dans le Rhône et l'Ain.

Il est membre de la société académique d'architecture de Lyon en 1859 qu'il préside de 1889 à 1890, il est également membre de la Société centrale des architectes français[2].

• « Louis-Étienne Journoud », sur cths.fr, Comité des travaux historiques et scientifiques (consulté le 20 mars 2015).