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Litema

Litema (/dit'ÉȘːma/, Ă©galement orthographiĂ© Ditema, au singulier : Tema) est une forme d'art mural composĂ© de motifs gĂ©omĂ©triques et symboliques. Naturellement associĂ© Ă  la tradition SeSotho, cet art mural reste pratiquĂ© au Lesotho et dans les rĂ©gions voisines de l’Afrique du Sud. Le nom signifie en SeSotho « texte » ou « terre labourĂ©e ».

Motif traditionnel Tema

Les femmes Basotho crĂ©ent des Litema sur les murs externes et internes des habitations : sous forme de gravures, peintures, moulages en relief et / ou mosaĂŻques.

Les motifs gĂ©omĂ©triques sont directement « peignĂ©s » ou « rayĂ©s » dans la couche supĂ©rieure fraĂźche de l'argile mĂȘlĂ©e de bouse et projetĂ©e au mur. Celle-ci est ensuite peinte avec des ocres naturelles, ou, de nos jours, avec de la peinture du commerce.

Par la texture "peignée", les motifs imitent le plus souvent les champs labourés ou font référence à la vie végétale ou à d'autres aspects du monde naturel tel que l'animal totem du clan.

Les Litema sont Ă©phĂ©mĂšres. Ils peuvent se dessĂ©cher et s'effriter ou ĂȘtre emportĂ©s par les fortes pluies. Il est courant que les femmes d'un village concoivent des Litema lors de fĂȘtes de mariage ou de cĂ©rĂ©monies religieuses[1].

Étymologie

Ainsi que Gary van Wyk (1993: 84) le souligne dans son analyse étymologique du nom seSotho désignant "l'art mural seSotho", Litema fait également référence aux "terres labourées"[2]. Si la tradition décorative est symbolique, elle est aussi liée à l'agriculture.

« Ditema» est dĂ©rivĂ© de la racine du verbe -lema (Ă  l'infinitif : ho lema « cultiver»), qui est un rĂ©flexe de la racine proto-bantoue *-dÉȘ̀m- "cultiver (principalement avec la houe)"[3].

L'orthographe <l> in li- (prĂ©fixe de classe 10 des noms seSotho) est prononcĂ© [d] en seSotho car [d] est un allophone de /l/ lorsque placĂ© devant les voyelles /i/ et /u/. L'orthographe <e> peut avoir trois valeurs possibles en seSotho : /ÉȘ/, /ɛ/ et /e/.

<litema> est prononcĂ© /ÉȘ/, en accord avec la racine Proto-Bantoue.

Aspect visuel

Les motifs Litema sont caractĂ©risĂ©s par une symĂ©trie Ă  plusieurs niveaux. Les motifs sont gĂ©nĂ©ralement disposĂ©s dans des cellules carrĂ©es. Le mur Ă  dĂ©corer est quadrillĂ© pour former les cellules. Chaque cellule reçoit le mĂȘme motif, qui est gĂ©nĂ©ralement pivotĂ© ou inversĂ© d'une cellule Ă  l'autre. La symĂ©trie du motif global dĂ©pend donc des symĂ©tries prĂ©sentes dans le motif de base. Il existe des motifs avec un seul axe de miroir dans les motifs de base qui donnent une impression gĂ©nĂ©rale d'Ă©coulement dans une direction. D'autres modĂšles courants ont plusieurs axes de symĂ©trie ou une symĂ©trie de rotation et donnent au motif global une impression ornementale plutĂŽt plate. La palette des couleurs est restreinte et en gĂ©nĂ©ral seules deux couleurs sont utilisĂ©es[1].

L'histoire

La tradition de l’art mural en Afrique australe n’est pas nouvelle. Alors que les fouilles sur les sites archĂ©ologiques Sotho-Tswana ont rĂ©vĂ©lĂ© des sols de huttes qui ont survĂ©cu aux Ă©lĂ©ments pendant prĂšs de 1500 ans, les premiĂšres traces de peinture murale Sotho-Tswana remontent Ă  environ cinq siĂšcles (Grant 1995: 45; Van Wyk 1998: 88). Cela prĂ©cĂšde de beaucoup la tradition de la peinture murale Ndebele qui a Ă©tĂ© mondialement popularisĂ©e. CommencĂ©e au XIXe siĂšcle, la tradition de l'art mural Ndzundza Ndebele appelĂ©e igwalo (plus connue sous le nom de peinture de maison Ndebele ) serait une synthĂšse des Ditema du Sotho septentrional et du design traditionnel Nguni utilisĂ© dans la broderie en perles, la poterie et la vannerie[4].

Archives coloniales

L'un des premiers comptes-rendus sur les fresques murales des Basotho provient du missionnaire Rev. John Campbell. Dans une description de 1813 sur l’art Batlhaping (Tswana du Sud), Campbell dĂ©clare : "AprĂšs avoir entendu parler de peintures dans la maison de Salakootoo, nous sommes allĂ©s les voir aprĂšs le petit-dĂ©jeuner. Nous avons trouvĂ© des reprĂ©sentations trĂšs approximatives du chameau-lĂ©opard, du rhinocĂ©ros, de l'Ă©lĂ©phant, du lion, du tigre et du stein-buck, que la femme de Salakootoo avait dessinĂ©s sur le mur d'argile, avec de la peinture blanche et noire. Cependant, ils Ă©taient aussi bien exĂ©cutĂ©s que nous nous y attendions et pouvaient conduire Ă  quelque chose de mieux encore. "(Grant 1995: 43).

Lors de son deuxiĂšme voyage en 1820, Campbell rapporte avec enthousiasme ce qu'il a vu chez un certain chef "Sinosee" de la lignĂ©e Hurutse des Sotho-Tswana. Campbell fournit Ă  la fois des illustrations et une description de la maison du chef : "Le mur Ă©tait peint en jaune et il Ă©tait ornĂ© de figures reprĂ©sentant des boucliers, des Ă©lĂ©phants et des lĂ©opards, etc. Il Ă©tait Ă©galement dĂ©corĂ© d’une jolie corniche ou bordure peinte de couleur rouge
 ses murs (de la chambre de Sinosee) Ă©taient dĂ©corĂ©s d’agrĂ©ables reprĂ©sentations d’élĂ©phants et de girafes
 Dans certaines maisons, des personnages, des piliers, etc. peints de couleurs diffĂ©rentes et qui n'auraient pas dĂ©shonorĂ© les ouvriers europĂ©ens "(Van Wyk 1996: 43; 1998: 88).

Les rĂ©cits de Campbell ont Ă©tĂ© compilĂ©s et publiĂ©s par l'historien George Stow dans son livre Les races indigĂšnes d'Afrique du Sud (1905). Stow a Ă©galement publiĂ© les dessins Litema les plus anciennement connus : des reproductions de huit motifs rĂ©alisĂ©s par les " Bakuena " (le clan fondateur de la nation Basotho), qu'il a probablement dessinĂ©s lui-mĂȘme[5].

Les dessins de Stow montraient des panneaux texturĂ©s similaires aux gravures Litema toujours faites ainsi de nos jours, de mĂȘme que des motifs peints en points, en rayures, en triangles et en zigzags exĂ©cutĂ©s avec une palette limitĂ©e de couleurs.

Dans son livre de 1861, le missionnaire français EugÚne Casalis se souvient des motifs Litema qu'il avait connus lors de son installation parmi les Basotho dans les années 1830 et qu'il qualifiait d'ingénieux. Ce qui laisse entendre des motifs plus complexes que ceux des Bakoena reproduits par Stow (Van Wyk 1998: 89). La documentation de Stow n'inclut aucun dessin de plantes contrairement à ceux que l'on voit dans les Litema modernes. Van Wyk (1994) suggÚre que les réalisations plus modernes et "curvilignes ont une saveur distinctement victorienne ou édouardienne probablement influencée par des objets européens du tournant du siÚcle tels que les motifs sur linoléum, les moulures en fonte et la dentelle ".

Renaissance contemporaine

Presque un siĂšcle sĂ©pare les dessins de Stow de ceux rĂ©alisĂ©s en 1976 par des Ă©tudiants du CollĂšge national de formation des enseignants du Lesotho (Van Wyk 1989: 89). À l'Ă©poque, Benedict Lira Mothibe, chargĂ© de cours d'art, demande aux Ă©tudiants de copier les motifs Litema afin de les utiliser dans les cours de gĂ©omĂ©trie et pour des impressions avec pommes de terre. Plus important encore, il s’agissait pour Mothibe de raviver la flamme pour ce qu’il considĂ©rait ĂȘtre une tradition SeSotho digne d'intĂ©rĂȘt. Gary van Wyk a utilisĂ© ces dessins lors de ses recherches sur le terrain en Afrique du Sud et au Lesotho de 1991 Ă  1994, enregistrant les rĂ©actions des femmes au sujet des motifs anciens, y compris les noms et significations qu’elles leur attribuaient. Il a par la suite republiĂ© plusieurs dessins. Il a constatĂ© que, mĂȘme si de nombreux schĂ©mas vĂ©gĂ©taux spĂ©cifiques (comme les "melons") qui avaient Ă©tĂ© nommĂ©s dans les annĂ©es 1970 avaient Ă©tĂ© oubliĂ©s dans les annĂ©es 1990 et reclassĂ©s dans une catĂ©gorie gĂ©nĂ©rale de "blomme" (afrikaans signifiant "fleurs"), cette dĂ©signation maintenait l'association symbolique Ă©troite entre les femmes et la fertilitĂ© vĂ©gĂ©tale, liĂ©e aux rĂŽles traditionnels des femmes en tant que cultivatrices et glaneuses. En outre, quelques motifs rĂ©pertoriĂ©s par Mothibe Ă©taient encore identifiables et ont Ă©tĂ© utilisĂ©s au dĂ©but des annĂ©es 90, comme celui qui fait rĂ©fĂ©rence au tableau de la marabaraba, un jeu populaire autochtone du type des dames (1998: 90-91).

Plus récemment (2003), Mothibe, dans une nouvelle contribution au nom de la sauvergarde du patrimoine, a compilé et fait don d'une deuxiÚme édition de modÚles de Litema intitulée Basotho Litema Patterns (With Modifications) à la School of Design Technology et Visual Art de l'Université centrale de technologie, Free State, fournissant une mise à jour des dessins et de leur interprétation[6].

Symbolisme

La recherche menée par Van Wyk et Mathews à la fin des années 1980 et au milieu des années 1990, aboutit à deux livres illustrés de photos et intitulés Maisons peintes africaines : les habitations Basotho de l'Afrique australe (Van Wyk, 1998) et The Mural africain (Chanquion & Matthews,1989).

Cela implique que l'art Litema ne peut ĂȘtre compris en termes uniquement esthĂ©tiques.

Gary Van Wyk (1993, 1994, 1996, 1998) affirme dans plusieurs ouvrages sur le sujet que les peintures murales seSotho sont une forme d'art religieux implorant les ancĂȘtres Ă  faire tomber la pluie qui rend fertile, nourrit les champs, les troupeaux et la communautĂ© humaine. Les peintures murales, dit-il, peuvent ĂȘtre vues comme des priĂšres peintes. Si les ancĂȘtres sont satisfaits, ils envoient une pluie qui lave les peintures murales et le cycle de la vie recommence. Il est ainsi adĂ©quat que les peintures murales soient produites par les femmes qui sont symboliquement liĂ©es Ă  la maison - mĂ©taphore de l’utĂ©rus, Ă  la crĂ©ation, et au domaine vĂ©gĂ©tal auquel elles sont liĂ©es par leurs rĂŽles traditionnels de cultivatrices et de glaneuses. Le mythe de la crĂ©ation Basotho, par exemple, affirme que la nation est sortie d'un endroit sombre, profondĂ©ment enfoui dans la terre, Ă  travers un lit de roseaux. Il Ă©tait d'ailleurs d'usage, lors de la naissance d'un enfant Ă  l'intĂ©rieur de la maison en terre construite Ă  l'origine en forme d'igloo et donc en forme de matrice, de placer un roseau Ă  l'entrĂ©e de la maison jusqu'Ă  ce que l'enfant "traverse le roseau" pour Ă©merger Ă  la lumiĂšre du jour (Van Wyk 1998: 103-107). De la mĂȘme façon, les jeunes initiĂ©es portent un masque en roseaux et pendant la pĂ©riode de rĂ©clusion durant leur inititation, elles tissent des nattes en roseau.

Ce lien symbolique entre la maison en forme d'igloo et le corps a ensuite Ă©tĂ© transfĂ©rĂ© aux maisons rectangulaires modernes Ă  toit plat, oĂč, en particulier le pourtour des portes et des fenĂȘtres Ă©tait ornĂ© et oĂč les motifs Litema le long de la ligne du toit Ă©taient appelĂ©s "serre-tĂȘte".

"La fĂ©conditĂ© des champs et des femmes est cĂ©lĂ©brĂ©e par la crĂ©ation de fleurs rayonnantes, le dĂ©veloppement de frondes, la formation de vrilles et de pousses... Parce que le travail agricole Ă©tait traditionnellement un travail de femme, on peut considĂ©rer que les femmes qui dĂ©corent les maisons dĂ©crivent ce travail dans les champs sur leurs murs. Les peintures murales sont donc des paysages africains, composĂ©s du mĂȘme paysage qu’elles reprĂ©sentent "(Van Wyk 1994). Cela se voit surtout dans les motifs Litema composĂ©s uniquement de peignage incolore dans la boue : ils imitent l’apparence d’un champ labourĂ©.

Van Wyk a dĂ©couvert que l'ocre rouge, appelĂ©e letsoku, ou "le sang de la terre", symbolisait la fertilitĂ© et le sang de la menstruation et du sacrifice, soulignant le lien essentiel entre les ancĂȘtres et la fertilitĂ© et expliquant le fait que l'ocre rouge Ă©tait invariablement ajoutĂ©e dans chaque peinture. Le blanc symbolise le calme, la puretĂ© et l’illumination que les ancĂȘtres promeuvent et dĂ©sirent, tandis que le noir reprĂ©sente les sombres nuages de pluie que les ancĂȘtres dĂ©livrent si tout est calme et bien, et ces deux couleurs sont frĂ©quemment combinĂ©es dans des motifs alternĂ©s appliquĂ©s aux zones de transition de l'architecture, telle que la ligne de toit et autour des portes et des fenĂȘtres. De mĂȘme, des Ă©lĂ©ments de configuration tels que les triangles et les zigzags possĂ©daient Ă©galement probablement des significations symboliques qui ont Ă©tĂ© perdues Ă  notre Ă©poque. Au cours des annĂ©es 1980 et au dĂ©but des annĂ©es 1990, Van Wyk a Ă©galement photographiĂ© des peintures murales exprimant des dĂ©clarations politiques, utilisant les couleurs du CongrĂšs national africain, interdit sous l'apartheid, ou incorporant des graphiques ou des dĂ©clarations politiques spĂ©cifiques.

Tom Mathews dans ses écrits (appuyés par des photographies prises par son fils Paul Chanquion) a déclaré que les fleurs et les points étaient des symboles de fertilité. En outre, il déclare que les motifs en chevrons représentent de l'eau ou un sol inégal, alors que les triangles sont des symboles désignant les hommes et les femmes (Changuion et Matthews, 1989: 9,19,55).

Dans l’étude rĂ©alisĂ©e par la CUT, aucune personne connaissant l’art Litema (Bekker, Thabane et Mothibe), ni les artistes du Litema en exercice n’avaient connaissance d’une signification plus profonde que celle d’embellir le foyer Ă  des fins esthĂ©tiques. Certains des artistes interrogĂ©s ont cependant partagĂ© leurs opinions sur la possibilitĂ© d'un sens symbolique. Selon des artistes du Free State, leurs mĂšres (dont beaucoup sont originaires du Lesotho) auraient peut-ĂȘtre eu connaissance de ces significations, mais elles ne leur ont pas communiquĂ© ces informations pendant leur enseignement[7].

SystĂšme d'Ă©criture

Un commentateur populaire a affirmĂ© que les Litema reprĂ©sentaient un ancien systĂšme d'Ă©criture logographique Sesotho[8]. Comme indiquĂ© ci-dessus, il est probable qu'il y ait toujours eu une logique symbolique associĂ©e aux Litema (peut-ĂȘtre comparable Ă  la tradition des symboles Adinkra d'Afrique de l'Ouest), mais il existe peu de preuves pour affirmer l'existence historique d'une logographie formelle du type hiĂ©roglyphes Ă©gyptiens ou caractĂšres chinois.

NĂ©anmoins, il existe effectivement un systĂšme d'Ă©criture contemporain (plus exactement un syllabaire) associĂ© aux Litema, qui peut ĂȘtre utilisĂ© pour Ă©crire le seSotho de mĂȘme que toutes les langues bantoues mĂ©ridionales. C'est le Ditema tsa Dinoko ("Syllabaire Ditema"), Ă©galement connu sous son nom zoulou : Isibheqe Sohlamvu, et d'autres noms dans diverses langues[9] - [10].

Littérature

  • Gary van Wyk : À travers la fleur cosmique : rĂ©sistance secrĂšte dans l'art mural des femmes sotho-tswana. Mary H. Nooter : Secret : l'art africain qui cache et rĂ©vĂšle. MusĂ©e d'art africain, New York 1993 (ISBN 3791312308)
  • Gary van Wyk : Motifs de possession : Un art de l'habitation africaine. Services de thĂšse UMI, Ann Arbor, MI, 1996.
  • Gary van Wyk : Maisons peintes africaines : Habitations Basotho d’Afrique australe. Abrams, New York 1998, (ISBN 0-8109-1990-7) .
  • Paul Changuion: La murale africaine. New Holland Publishers, Londres 1989, (ISBN 1-85368-062-1) .
  • Paulus Gerdes: Des idĂ©es mathĂ©matiques dans les traditions culturelles de l'Afrique centrale et australe, dans : Helaine Selin (Hrsg..) : MathĂ©matiques Ă  travers les cultures : histoire des mathĂ©matiques non occidentales . Springer, New York 2001, (ISBN 1402002602) , S. 313–344.
  • Paulus Gerdes: Femmes, art et gĂ©omĂ©trie en Afrique australe . Presse mondiale d'Afrique, Trenton (NJ) 1998, (ISBN 0-86543-601-0) .
  • Sandy et Elinah Grant: Maisons dĂ©corĂ©es au Botswana , Creda Press, Cape Town 1996, (ISBN 9991201408) .
  • Benedict Mothibe: Litema: Dessins d'Ă©tudiants du NTTCL , Morija Press, Maseru 1976.

Liens externes

  • "Fields of Vision" "L'art de l'habitation de Sotho" de Gary van Wyk, compte rendu de l'exposition et de la publication.
  • "La fĂ©conditĂ© des champs et des femmes" inspire les peintures murales sotho. "L'art de l'habitation sotho." (Exposition et publication de Gary van Wyk) Columbia University Record - - Vol. 20, no 6
  • LITEMA - L'art mural des Basotho , un site Web de Carina Beyer, programme de photographie, École des technologies de conception et des arts visuels de l'universitĂ© centrale de technologie dans le Free State

Références

  1. Paulus Gerdes: Des idées mathématiques dans les traditions culturelles de l'Afrique centrale et australe .
  2. « Bukantswe dictionary search "ploughed land" », bukantswe.sesotho.org, (consulté le )
  3. « Select Proto-Bantu Vocabulary », linguistics.africamuseum.be, (consulté le )
  4. « The role of decoration in Ndebele society », www.sahistory.org.za, (consulté le )
  5. (Sur la base d'une lettre inédite de Stow à la South African Library, dans laquelle celui-ci raconte avoir visité un kraal Bakoena en ruine (Van Wyk 1998: 89)).
  6. « Historical Record », portal.cut.ac.za/litema, (consulté le )
  7. « Litema Symbolism », portal.cut.ac.za/litema, (consulté le )
  8. « Ditema Tsa Basotho Writing System », zulumathabo.wordpress.com, (consulté le )
  9. « IsiBheqe », isibheqe.org, (consulté le )
  10. « Isibheqe Sohlamvu: An Indigenous Writing System for Southern Bantu Languages », linguistics.org.za, (consulté le )
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