Accueil🇫🇷Chercher

Liste d'artistes d'emo

Ceci est une liste d'artistes qui ont été rattachés à l'emo à un moment ou un autre de leur carrière. L'emo est un sous-genre du rock caractérisé par des paroles expressives. Il émerge au cours des années 1980 à Washington, ville dans laquelle il est connu sous les termes d'« emotional hardcore » ou d'« emocore », et est pratiqué par des groupes tels que Rites of Spring ou Embrace.

Lorsque le style est repris par des groupes de punk rock américains, il commence à changer et être mélangé à des éléments issus du pop punk et du rock indépendant, puis à être joué au début des années 1990 par des groupes comme Jawbreaker et Sunny Day Real Estate. Au milieu des années 1990, un bon nombre de groupes d'emo émergent du Midwest et du Centre des États-Unis, tandis que de nombreux labels discographiques commencent à se spécialiser dans ce style.

L'emo se popularise auprès du grand public au début des années 2000 avec des groupes tels que Jimmy Eat World et Dashboard Confessional. Un sous-genre musical, le screamo, fait son apparition. Après avoir rencontré le succès, certains groupes d'emo signent avec des majors et le style devient un produit de marketing[1]. À la fin des années 2000, la popularité de l'emo s'effondre. Certains groupes changent de style musical tandis que d'autres se séparent.

Sommaire : Haut - A B C D E F G H I J K L M N O P Q R S T U V W X Y Z

0-9

A

B

C

D

E

F

G

H

I

J

K

L

M

N

O

P

R

S

T

U

V

W

Y

Références
  1. Greenwald 2003, p. 140–141.
  2. (en) Shawn Despres, « Springroove 09 », The Japan Times,‎ (lire en ligne).
  3. Sharpe-Young 2005, p. 8-9.
  4. Larkin 2009, Rocket to the Moon.
  5. (en) Jeff Niesel, « Producer Jim Wirt Has Turned Crushtone Studios Into One of the Best Studios in Town », Cleveland Scene,‎ (lire en ligne).
  6. (en) Jon Caramanica, « New CDs > The Academy Is ... - "Fast Times at Barrington High" » (version du 3 février 2017 sur Internet Archive), The New York Times, 18 août 2008.
  7. (en) Tim McCready, « Indie Reviews » (version du 18 octobre 2000 sur Internet Archive), HM, juillet/août 2000.
  8. (en) Tim Den, « Free-Bee », Lollipop, no 53,‎ (lire en ligne).
  9. (en) Dave Pirtle, « Review of Across Five Aprils - Living In The Moment EP » (version du 14 mars 2012 sur Internet Archive), sur Metal Review, 11 septembre 2004.
  10. (en) Alexa Tietjen, « 26 Emo Bands That Got Us Through Our Teenage Years » (version du 3 mai 2016 sur Internet Archive), VH1, 27 mai 2015.
  11. (en) Laura Snapes, « Multiple women accuse emo musician William Control of running 'sex cult' », The Guardian,‎ (lire en ligne).
  12. (en) Christin Runkle, « Emo sextet Alesana aim for legendary 'sweetcore' », The Idaho Press-Tribune,‎ (lire en ligne).
  13. (en) Sam Shepherd, « Alexisonfire - Crisis (Hassle) » (version du 7 mai 2007 sur Internet Archive), sur musicOMH, 21 août 2006.
  14. (en) « Emo Revival Heroes Algernon Cadwallader Are Back (In Print) », sur Stereogum, (consulté le )
  15. Sharpe-Young 2005, p. 22-23.
  16. (en) Abby Schreiber, « What Your Favorite Emo Bands Look Like in 2014 » (version du 1 mai 2016 sur Internet Archive), Paper, 25 avril 2014.
  17. (en) Jake Richardson, « 15 MySpace Bands You Probably Don't Remember », Kerrang!,‎ (lire en ligne).
  18. « Amanda Woodward », sur Hardcore-punk.net (consulté le ).
  19. (en) Luke O'Neil, « Emo is Dead, Long Live Emo: 30 Bands Making it Safe to Hurt Again » (version du 15 mai 2016 sur Internet Archive), The Village Voice, 26 avril 2013.
  20. (en) Thea de Gallier, « The 10 emo bands that helped shape Real Friends' sound », sur Louder, (consulté le ).
  21. Sharpe-Young 2005, p. 30.
  22. (en) Stewart Mason, Anarbor sur AllMusic (consulté le 3 mai 2020).
  23. (en) Scott Fryberger, « And Then There Were None: The Hope We Forgot Exists », sur Jesus Freak Hideout, (consulté le ).
  24. (en) Greg Heller, « Bands Seek Emotional Rescue: Young postpunk stars sick of 'emo-core' label » (version du 22 mars 2005 sur Internet Archive), San Francisco Chronicle, 10 septembre 2000.
  25. (en) Ian Cohen, David Anthony, Nina Corcoran, Emma Garland et Brad Nelson, « The 100 Greatest Emo Songs of All Time », Vulture, (consulté le ).
  26. (en) Steven Martinez, « Armor for Sleep: 50 new songs » (version du 4 mars 2008 sur Internet Archive), The Daily Titan, 28 janvier 2008.
  27. (en) D.X. Ferris, « As Cities Burn », Cleveland Scene,‎ (lire en ligne).
  28. (en) David Hickey, « Rallying round home-grown sounds », The Japan Times,‎ (lire en ligne).
  29. « Dimanche 18 septembre 2005 », sur Metalorgie (consulté le ).
  30. Sharpe-Young 2005, p. 39.
  31. Hein 2004.
  32. (en) Bradley Torreano, Autopilot Off sur AllMusic (consulté le 3 mai 2020).
  33. (en) Grant Sharples, « Top 10 new-wave emo artists to keep on your radar », Alternative Press,‎ (lire en ligne).
  34. (en) Corey Apar, Bayside sur AllMusic (consulté le 3 mai 2020).
  35. (en) Sara Barron, « Your guide to the music of Pig & Whiskey », Detroit Metro Times,‎ (lire en ligne).
  36. (en) Freya Cochrane, « Album Review: Farewell, My Love - Gold Tattoos » (version du 23 avril 2014 sur Internet Archive), sur Bring the Noise UK.
  37. Peechatka 2016.
  38. (en) Mark Teo, « 13 classic Canadian emo bands you might have forgotten about » (version du 14 mars 2016 sur Internet Archive), Aux, 18 septembre 2013.
  39. Sharpe-Young 2005, p. 68.
  40. (en) Shorey Andrews, « 15 emo bands that got you through high school », A.Side TV, (consulté le ).
  41. Larkin 2009, Brand New.
  42. (en) Mike Prevatt, « Summer rush » (version du 27 juin 2009 sur Internet Archive), Las Vegas CityLife, 25 juin 2009.
  43. Mall 2019.
  44. (en) Iluvatar, « Circle Takes the Square - As the Roots Undo », sur Sputnikmusic, (consulté le ).
  45. (en) Stewart Mason, City of Caterpillar - Demo and Live Recordings sur AllMusic (consulté le 3 mai 2020).
  46. (en) Michael Gallucci, « Cobra Starship », Miami New Times,‎ (lire en ligne).
  47. (en) Chase Kamp, « Coheed and Cambria's Claudio Sanchez Furthers His Sci-Fi Empire with The Amory Wars », Phoenix New Times,‎ (lire en ligne).
  48. (en) Daniel Robson, « Coldrain "Final Destination" », The Japan Times,‎ (lire en ligne).
  49. (en) Daniel, « [News] Columbus Release New Single "Says What You Want" », Heavy,‎ (lire en ligne).
  50. (pt) Rodrigo Ortega, « Do emo ao Rock in Rio: como Panic! At the Disco e CPM 22 sobreviveram de formas opostas », sur G1, (consulté le ).
  51. (en) Kris Kielich, « Double the Cute Is What We Aim For » (version du 27 octobre 2016 sur Internet Archive), The Buffalo News, 25 octobre 2016.
  52. (es) Antonio Javier Alarcón Ríos, « Invadiendo poco a poco lo masivo » (version du 2 juillet 2011 sur Internet Archive), sur Shock.com.co, 30 septembre 2008.
  53. Blush 2010, p. 175.
  54. Julien, « Sortie du #2 de Up & Down zine », Shoot Me Again,‎ (lire en ligne).
  55. (en) Bianca Davino, « How Emo Went from a Punchline to Critical Acclaim », sur Junkee, (consulté le ).
  56. Gulla 2006, p. 235.
  57. Larkin 2009, Dashboard Confessional.
  58. bru, « Dead Poetic - Four Black Wallmail », sur Eklektik Rock, (consulté le ).
  59. (en) Steven N. Jacobs, « Emo Bands Dismember Middle East Audiences », The Harvard Crimson,‎ (lire en ligne).
  60. (en) « Jammin': Expected May music releases » (version du 30 avril 2019 sur Internet Archive), sur Madison.com, 29 avril 2019.
  61. (en) Pete Avery, « Records > Black Love / The Discord of a Forgotten Sketch - split EP », Maximumrocknroll, no 369,‎ (lire en ligne).
  62. (en) « 30 Best Emo Revival Albums, Ranked », Spin,‎ (lire en ligne).
  63. (en) Ned Raggett, Drive Like Jehu - Yank Crime sur AllMusic (consulté le 3 mai 2020).
  64. (en) Chelsey Norris, « Emarosa initiates Dallas into the 'Peach Club' with an exclusive show », Substream Magazine,‎ (lire en ligne).
  65. (en) Gretchen Hansen, « An emo fan is born at an Emery concert in Manhattan », Entertainment Weekly,‎ (lire en ligne).
  66. (en) Lee Glynn, « Escape the Fate - 'There's No Sympathy for the Dead' (Epitaph) Released 19/06/06 » (version du 15 février 2009 sur Internet Archive), sur Gigwise, 10 juillet 2006.
  67. (en) Tom Spinelli, « Every Avenue - Shh, Just Go With It » (version du 12 octobre 2011 sur Internet Archive), Melodic.
  68. (pt) Amauri Stamboroski Jr., « G1 apresenta 15 discos para entender o emo », sur G1, (consulté le ).
  69. Larkin 2009, Fall Out Boy.
  70. Sharpe-Young 2005, p. 140.
  71. (en) Paul Lester, « Family Force 5 (No 722) » (version du 22 avril 2010 sur Internet Archive), The Guardian, 9 février 2010.
  72. (en) Francisco Rendon, « Farewell, My Love Goes Above It All », sur Pollstar, (consulté le ).
  73. (de) Elmar Salmutter, « Favez », Ox-Fanzine, no 39,‎ juin/juillet/août 2000 (lire en ligne).
  74. (en) « Fear, and Loathing in Las Vegas » (version du 20 mars 2015 sur Internet Archive), sur Barks.
  75. Gulla 2006, p. 48, 235.
  76. (en) Lauren Nostro, « 50 Things You Didn't Know About Rihanna », Complex,‎ (lire en ligne).
  77. (en) Stewart Mason, The Fold - This Too Shall Pass sur AllMusic (consulté le 3 mai 2020).
  78. (en) Mackenzie Hall, « Album Review: Framing Hanley - Envy », Kerrang!,‎ (lire en ligne).
  79. Sharpe-Young 2005, p. 149.
  80. (en) Rae Lemeshow-Barooshian, « The Best Emo Song of Every Year Since 1998 », sur Loudwire, (consulté le ).
  81. (en) Jill Mikkelson, « Funeral Diner: The Underdark », Exclaim!,‎ (lire en ligne).
  82. (en) « Funeral for a Friend to play gig in Russia » (version du 18 novembre 2007 sur Internet Archive), NME, 17 octobre 2007.
  83. Larkin 2009, Further Seems Forever.
  84. Gulla 2006, p. 48.
  85. Sharpe-Young 2005, p. 317.
  86. (en) Ryan Wasoba, « Six Most Overwrought Valentine's Day Emo Songs », Riverfront Times,‎ (lire en ligne).
  87. (en) PP, « Greeley Estates - Far from the Lies », sur Rockfreaks.net, (consulté le ).
  88. Sharpe-Young 2005, p. 168.
  89. (en) Tom Breihan, « Hellogoodbye: Emo Doesn't Always Suck » (version du 23 mai 2012 sur Internet Archive), The Village Voice, 6 février 2007.
  90. (en) Al Shipley, « The 10 Biggest Musical Transformations of 2013 », Complex,‎ (lire en ligne).
  91. Ludo-core, « Hopes Die Last - Six Years Home », sur Skartnak.com, (consulté le ).
  92. (en) Jack Rabid, Hot Water Music / Leatherface - BYO Split Series, Vol. 1 sur AllMusic (consulté le 3 mai 2020).
  93. (en) Paula Carino, House of Heroes - The End Is Not the End sur AllMusic (consulté le 3 mai 2020).
  94. (en) Sam Sutherland, « Hurt Process: Drive by Monologue », Exclaim!,‎ (lire en ligne).
  95. (en) David McLaughlin, « Old School Emo Gems That Deserve More Modern-day Love », Kerrang!,‎ (lire en ligne).
  96. (fi) Arto Mäenpää, « Snow White's Poison Bite lämmittelemään Intohimoa ja Saving Joshuaa », sur KaaosZine, (consulté le ).
  97. (en) Russ Breimeier, « There Came a Lion » (version du 26 février 2014 sur Internet Archive), sur Crosswalk.com, 1er février 2008.
  98. Greenwald 2003, p. 19-20.
  99. Larkin 2009, Joan of Arc.
  100. (en) Kelso Jacks, « Juliana Theory: Understand This Is a Dream », CMJ New Music Report, vol. 58, no 615,‎ , p. 30 (ISSN 0890-0795, lire en ligne)
  101. (en) Stewart Mason, Falling Up - Artist Biography sur AllMusic (consulté le 3 mai 2020).
  102. Greenwald 2003, p. 79-80.
  103. Karlos Osinaga et Eneko Aranzasti, interview par Jean Sébastien Mora, "C'est très difficile de faire des chansons positives. Quand tu es heureux, tu profites", Le Journal du Pays basque, (consulté le ).
  104. (en) Cam Lindsay, « Lost Prophets: Liberation Transmission », Exclaim!,‎ (lire en ligne).
  105. NO fun for a FX, « LoveHateHero », sur Metalorgie (consulté le ).
  106. (en) Matthew Leone, interview par Graham Finney, Madina Lake Interview; Matthew Leone Talks Comeback Shows; The Future and Their Memories, PureGrainAudio, (consulté le ).
  107. (en) Tom Spinelli, « Mae Lose Keyboardist and Bassist » (version du 7 novembre 2007 sur Internet Archive), Melodic, 26 septembre 2007.
  108. (en) Natasha Heinz, « The Maine announce 'You Are Ok' tour dates », Alternative Press,‎ (lire en ligne).
  109. (en) Hannah Pierangelo, « Album Review: Mayday Parade - Black Lines » (version du 4 mars 2016 sur Internet Archive), idobi Radio, 14 octobre 2015.
  110. (en) « Breaking Artist: Metro Station », Rolling Stone,‎ (lire en ligne).
  111. Greenwald 2003, p. 146, 203.
  112. (en) Chris Young, « Concert Sampler: Megafauna, Ellie Goulding, Neko Case and more », Toronto Star,‎ (lire en ligne).
  113. (en) Erin Carson, « Writer of the Week: Adam Young (Sky Sailing/Owl City) » (version du 3 août 2010 sur Internet Archive), American Songwriter, 2 août 2010.
  114. (es) « Grupo Panda recibe platino por ventas », El Siglo de Torreón,‎ (lire en ligne).
  115. (en) FlawedPerfection, « Pg. 99 - Document #7 », sur Sputnikmusic, (consulté le ).
  116. (en) Ian Cohen, « Your New Favorite Emo Bands: The Best of Topshelf Records' 2013 Sampler » (version du 20 mai 2015 sur Internet Archive), sur Pitchfork, 1er octobre 2013.
  117. (en) Brian Rutherford, « Pierce the Veil - A Flair for the Dramatics » (version du 12 octobre 2007 sur Internet Archive), sur Music Emissions, 5 juin 2007.
  118. Senti, « Portraits of Past », sur Metalorgie (consulté le ).
  119. Greenwald 2003, p. 14.
  120. (en) James Montgomery, « The Argument: Weezer Are the Most Important Band of the Last 10 Years » (version du 9 mai 2007 sur Internet Archive), MTV, 25 octobre 2004.
  121. Larkin 2009, Red, Roses Are.
  122. (en) Monk Dave, « Record Reviews > Saetia - "A Retrospective" CD/ 72:46 », Fracture, no 20,‎ , p. 127-128 (lire en ligne).
  123. (en) Tom Murphy, « Samiam Saw Bon Jovi Play a Small Club and Thought He'd Never Be Big », Westword,‎ (lire en ligne).
  124. (en) Adam Wright, « Saosin », South China Morning Post,‎ (lire en ligne).
  125. (en) Jon Caramanica, « Dependent, Independent, Metalcore, Emo: It's All Punk to Them », The New York Times,‎ (lire en ligne).
  126. (en) Ayala Ben-Yehuda, « Secondhand Serenade » (version du 5 mai 2007 sur Internet Archive), Billboard, 23 février 2007.
  127. (en) Paul Hagen, « Senses Fail - The Fire » (version du 5 avril 2011 sur Internet Archive), Big Cheese, 12 novembre 2010.
  128. Sharpe-Young 2005, p. 267.
  129. (en) Jason Lymangrover, Sleeping with Sirens - If You Were a Movie, This Would Be Your Soundtrack sur AllMusic (consulté le 3 mai 2020).
  130. (en) Aaron Shaul, « So They Say », Ink 19,‎ (lire en ligne).
  131. Buckley 2003, p. 999.
  132. (en) Bradley Torreano, Stavesacre - (stāvz'ā'kər) sur AllMusic (consulté le 3 mai 2020).
  133. Larkin 2009, Story of the Year.
  134. Greenwald 2003, p. 19, 32.
  135. (en) Matt Collar, Switchfoot - Oh! Gravity. sur AllMusic (consulté le 3 mai 2020).
  136. (en) Jon O'Brien, Thirty Seconds to Mars - 30 Seconds to Mars sur AllMusic (consulté le 3 mai 2020).
  137. Larkin 2009, Thrice.
  138. Sharpe-Young 2005, p. 332.
  139. (en) Jason Ankeny, « Tokio Hotel » (version du 3 mars 2009 sur Internet Archive), MTV.
  140. (en) « Indie, Electric, Emo, Oh My! », Spin,‎ (lire en ligne).
  141. (en) Rob Rubsam, « Pianos Become the Teeth, 'Hiding' -- Song Premiere » (version du 16 janvier 2013 sur Internet Archive), sur Spinner, 4 janvier 2013.
  142. (de) Klaus N. Frick, « Tut das Not - Denkfluchten CD », Ox-Fanzine, no 58,‎ (lire en ligne).
  143. (en) Ray Van Horn, Jr., « Underoath - 'Lost in the Sound of Separation' » (version du 14 mars 2012 sur Internet Archive), sur About.com.
  144. Laure Ghilarducci, « Melt-Banana, Uplift Spice : un mois de mai Destroy ! », sur Journal du Japon, (consulté le ).
  145. (it) Kaos, « Vanilla Sky realizzano cover e video di Umbrella », sur SoundsBlog, (consulté le ).
  146. (en) Jon O'Brien, We Are the Ocean - Go Now and Live sur AllMusic (consulté le 3 mai 2020).

Bibliographie
  • (en) Steven Blush, American Hardcore: A Tribal History, Feral House, , 2e éd. (1re éd. 2001) (ISBN 978-1-9325-9589-5, lire en ligne)
  • (en) Peter Buckley, The Rough Guide to Rock, Rough Guides, , 3e éd. (ISBN 1-85828-457-0, lire en ligne)
  • (en) Andy Greenwald, Nothing Feels Good: Punk Rock, Teenagers, and Emo, New York, St. Martin's Griffin, (ISBN 0-312-30863-9, lire en ligne)
  • (en) Bob Gulla, The Greenwood Encyclopedia of Rock History: The Grunge and Post-Grunge Years, Greenwood Press, (ISBN 0-313-32981-8, lire en ligne)
  • (fr) Fabien Hein, Hard rock heavy metal metal : Histoire, cultures et pratiquants, Guichen, Éditions Mélanie Seteun, coll. « Musique et société » (no 6), (ISBN 978-2-907366-76-2, lire en ligne), chap. 2 (« Perspectives historiques »), p. 27-148
  • (en) Colin Larkin (dir.), The Encyclopedia of Popular Music, Oxford University Press, , 4e éd. (ISBN 978-0-1953-1373-4, lire en ligne)
  • (en) Andrew Mall, « Emo », dans Janet Sturman (dir.), The SAGE International Encyclopedia of Music and Culture, vol. 2, SAGE Publications, (ISBN 978-1-4833-1775-5, lire en ligne), p. 790-792
  • (en) Troy Peechatka, « Emo Music », dans Simon J. Bronner et Cindy Dell Clark (dir.), Youth Cultures in America, vol. 1: A-I, Greenwood (ABC-CLIO), (ISBN 978-1-4408-3391-5 et 978-1-4408-4551-2, lire en ligne), p. 209-212
  • (en) Garry Sharpe-Young, New Wave of American Heavy Metal, Zonda Books Limited, (ISBN 0-9582684-0-1, lire en ligne)
Cet article est issu de wikipedia. Text licence: CC BY-SA 4.0, Des conditions supplémentaires peuvent s’appliquer aux fichiers multimédias.