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Les Flèches de nulle part

Les Flèches de nulle part est la quarante-deuxième histoire de la série Tif et Tondu de Will et Maurice Rosy. Elle est notamment publiée dans le journal Spirou du no 1399 au no 1420.

Les Flèches de nulle part
42e histoire de la série Tif et Tondu
Scénario Maurice Rosy
Dessin Will

Pays Drapeau de la Belgique Belgique
Langue originale Français
Éditeur Dupuis
Première publication no 1399 de Spirou (1965)

Prépublication Spirou

Résumé

Alors qu'ils roulent sous une pluie battante, Tif et Tondu remarquent un début d'incendie dans un pavillon au bord de la route. Ils se précipitent et sauvent ainsi, Albert Gimon[1], le célèbre chimiste.

L'incendie a été causé par une flèche métallique qui est venue percuter une lampe à pétrole, laquelle s'est renversée provoquant ce début d'incendie. Le problème est que la flèche s'est fichée de manière horizontale et que la scène se déroule au premier étage de la maison. Or, face à la maison il n'y a qu'une petite route immédiatement suivie d'un précipice et l'autre versant est à plusieurs centaines de mètres. Faut-il en conclure que l'archer mystérieux volait dans le ciel ?

Gimon paraissant inquiet, prend sa voiture en hâte, mais une flèche lui fait faire une sortie de route et il disparaît. Puis un autre savant, résidant non loin, est à son tour enlevé par des voies impossibles.

En enquêtant, Tif et Tondu découvrent que les disparus ont travaillé sous la contrainte dans un centre de recherches de la Wehrmacht, qu'une vieille image leur permet de localiser. Là, ils trouvent les savants disparus ainsi qu'un troisième, et leur geôlier, vêtu d'une combinaison ignifuge qui dissimule ses traits. L'homme a usé de l'une des découvertes du centre - un réacteur dorsal sans flamme - pour enlever les savants. Il compte les forcer à rappeler un missile renfermant tous les autres secrets développés dans la base et mis à l'abri en orbite en 1944.

L'inconnu parvient effectivement à récupérer l'ogive, mais poursuivi par Tif et Tondu, sa voiture tombe à la mer et tous les appareils sont détruits au contact de l'eau salée. Reste une énigme : dans la voiture reposait le casque de Monsieur Choc!

Publication

Revues

  • Spirou du #1399 (04/02/1965) au #1420 (01/07/1965)[2]

Album

Notes et références

  1. Homophonie avec Albert Simon, le M. Météo d'Europe N°1 à l'époque.
  2. « bdoubliees.com/journalspirou/s… »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?).
  3. « Tif et Tondu -10- Les flèches de nulle part », sur bedetheque.com (consulté le ).

Liens externes

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