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Les Corigis de Drummondville

Les Corigis de Drummondville Enr. était une troupe de théâtre pour enfants, qui a été fondée le , par Richard Alarie[1].

C'est à la suite d'une demande du directeur artistique d'alors, du Centre culturel de Drummondville, Hector Ledoux, que Richard Alarie a accepté de se lancer dans ce projet. La naissance de cette troupe s'inscrivait dans un cadre ou les administrateurs de ce nouvel auditorium souhaitaient qu'il soit largement utilisé[2].

Histoire

« Dès sa fondation, le groupe ne manque pas d'audace. Si son fonctionnement s'assimile à celui des groupes d'amateurs, il innove par sa détermination de produire pour les jeunes. En cela, il rejoint les préoccupations des professionnels », écrivit Hélène Beauchamp, dans son livre Le théâtre pour enfants au Québec, 1950-1980[3]. Effectivement, les comédiens étaient recrutés parmi des étudiants de niveau collégial, ainsi qu'auprès des jeunes travailleurs. Parmi les principaux critères d'embauche, il fallait une bonne dose de motivation, consacrer tout le temps et l'énergie nécessaires et croire à l'importance du théâtre pour enfants. L'horaire chargé des répétitions en témoignait : trois soirs de répétitions par semaine, pendant trois mois. Deux semaines avant le spectacle, le rythme s'intensifiait, à raison de 14 jours, incluant les samedis et les dimanches. Richard Alarie, lui-même jeune travailleur, a dû bientôt quitter son emploi, afin de se consacrer à plein temps au fonctionnement de la troupe, puisque outre d'en être le directeur-fondateur, il en assumait les fonctions d'auteur des textes, comédien, metteur en scène et à compter de la deuxième année, producteur des pièces. Au début, c'était presque une affaire de famille, car la troupe était composée du directeur, de son frère et de sa sœur, ainsi que de sa cousine. D'autres comédiens se joignirent graduellement à la troupe, selon les besoins, pour remplir les rôles des autres nombreux personnages.

Première saison

Le , quelque 550 spectateurs se présentèrent aux guichets du Centre culturel de Drummondville, pour assister à la première de Voyage sur la planète Mars. « La première des Corigis en fit voir de toutes les couleurs... ils n'ont pas manqué de faire rire tous les jeunes à gorge déployée » avait écrit le journal local, La Parole, dans un article consacré à la troupe. Le directeur artistique du Centre Culturel, demanda donc à Richard Alarie de monter une deuxième pièce de théâtre. Ainsi, c'est devant maintenant quelque 650 enfants que la troupe se produisit. « C'est la seconde représentation de pièces enfantines par les Corigis et c'est un second succès »[4], mentionna le journal La Parole, dans une vignette sous la photo de la troupe. La revue En coulisse, pour sa part, consacra sa une, à la troupe, avec une photo de l'équipe de comédiens[5]. La troupe a donc répondu par une troisième production : Les Corigis en vacances. À cette occasion, deux enfants, une fille et un garçon, âgés respectivement de 10 et 11 ans, se joignirent à l'équipe, en tant que jeunes comédiens. La troupe fut sollicitée pour entamer une tournée dans certains parcs municipaux de Drummondville, pour présenter à nouveau Voyage sur la planète Mars, sur une scène mobile [6]. La jeune troupe se vit également recrutée par le Camping provincial du Parc des Voltigeurs, pour un théâtre d'été, pour enfants, les samedis après-midi[7], sur une scène érigée en plein air. Les Corigis s'adressaient à un large public, variant de 3-4 ans et même jusqu'à 12 ou 13 ans. Les plus jeunes étaient fascinés par les marionnettes parlantes, grâce à une bouche articulée et qui pouvaient également saisir des objets, grâce à l'autre main du marionnettiste. Les intermédiaires étaient rejoints par les nombreux calembours, alors que les plus vieux appréciaient les aventures et les intrigues.

Deuxième saison

Des commanditaires se mirent Ă  contribution, pour des tirages de prix, tel des radios portatives ou des bicyclettes[8]. La troupe entreprit alors sa deuxième saison. Ce furent plus de 1700 enfants qui se prĂ©sentèrent au Centre culturel, pour assister Ă  la pièce Cocasse et Coquerelle au cirque. Comme l'auditorium contenait 736 sièges, près de 1 000 enfants ne trouvèrent pas de place. Devant cette affluence inattendue, les autoritĂ©s du Centre culturel demandèrent l'aide de la police municipale, afin de contrĂ´ler tout le trafic automobile et piĂ©tonnier. « Un triomphe, Les Corigis font salle comble », titra le journal local[9]. Le mĂŞme article prĂ©cisa : « Faire du théâtre de manière professionnelle lorsqu'on est aux Ă©tudes ou sur le marchĂ© du travail, ce n'est pas chose facile. Cependant, les Corigis ont relevĂ© le dĂ©fi. Et ils sont fiers aujourd'hui de constater que l'immense travail accompli est couronnĂ© de succès » et il ajouta: « L'affluence provoquĂ©e par Les Corigis en prĂ©sentant leur première pièce de la saison Cocasse et Coquerelle au cirque, permet d'affirmer qu'ils Ă©taient attendus avec impatience. On peut mĂŞme avancer qu'ils sont et demeureront les favoris des jeunes Ă  l'avenir ».

Le directeur du Module socio-culturel du Service de la Récréation de la cité de Drummondville, Claude Boucher, exhorta la troupe à organiser davantage de spectacles. « Forte de tous ces succès, la troupe locale mettra à nouveau à l'affiche du Centre culturel, grâce à la collaboration du Service des loisirs de la cité de Drummondville, deux nouveaux spectacles, dans les semaines à venir »[10]. Finalement, ce furent six autres spectacles qui ont été montés pour la saison 1970-1971, afin de répondre à la demande. Certaines de ces pièces de théâtre nécessitèrent des représentations supplémentaires, sans compter les numéros d'animation dans les nombreuses fêtes d'enfants, activités de clubs sociaux, écoles, centre d'achats, entractes de cinémas, fêtes de Noël, « Cette année, un groupe de comédiens locaux Les Corigis, animèrent l'après-midi avec de nombreux sketches et pantomimes, créant l'émerveillement des jeunes et des moins jeunes (les parents) »[11], etc. La saison se termina par un spectacle de variété, composé de sketches, de numéros de magie et de chansons, à l'aréna du Centre Civique de Drummondville, alors que les Corigis firent salle comble, en réussissant à attirer plus de 2500 enfants.

La renommée de la troupe attira l'attention du directeur des programmes pour enfants, de Radio-Canada, André Pagé. Cependant, le projet d'émissions de télévision avec les Corigis ne se concrétisa pas, à la suite du départ de ce dernier pour un nouveau poste. C'est alors que le directeur des programmes de la station CHRD-AM 1480, Claude René, proposa à la troupe, une série radiophonique, à raison d'une émission par semaine. L'émission intitulée Le club des Corigis proposait des règles de civisme, de sécurité à bicyclette, un concours de dessins[12]. Les enfants pouvaient également téléphoner et s'entretenir avec les personnages, alors que des chansons et des extraits de l'histoire du Petit Prince complétaient l'émission. Cette station radio AM, l'une des plus puissantes du Québec à cette époque, propulsa la renommée de la troupe bien au-delà des limites de la région de Drummondville[13]. Aussi, lorsque la troupe entreprit sa première tournée, dans d'autres municipalités, les membres eurent l'étonnante surprise de se voir reconnaître par les enfants, même si la troupe ne s'était jamais produite en ces villes[14].

Par ailleurs, lors de la première saison, c'est le Centre culturel de Drummondville qui finançait les productions des Corigis, mais les budgets étaient limités. À la suite d'une suggestion de Claude Boucher, le directeur de la troupe décida de produire et de financer lui-même les spectacles. Il doubla aussitôt les budgets pour cette deuxième saison et il les doubla à nouveau pour les saisons subséquentes, ce qui permit la construction de décors plus somptueux et de costumes de confection plus élaborée et soignée. La troupe se dota de colonnes d'éclairage, alors que le système de son lui était gracieusement fourni par la discothèque mobile Sérénade Système. Cela leur était indispensable pour les spectacles présentés dans des salles non-équipées.

Des journaux régionaux commencèrent également à consacrer des articles au sujet de la troupe : « Les Corigis continuent d'épater les enfants de Drummondville... leur expérience, en matière de spectacles pour enfants leur a permis de découvrir les véritables désirs des enfants en matière de théâtre... il est donc important de se procurer des billets à l'avance », fit remarquer le quotidien régional La Tribune de Sherbrooke [15]. Pour sa part, René Lord, du journal quotidien régional Le Nouvelliste, de Trois-Rivières, mentionna dans son Bilan culturel du cœur du Québec : « L'imagination de Richard Alarie a créé des personnages fantaisistes qui évoluent dans des lieux fascinants et qui vivent des aventures extraordinaires » [16], et le journal La Nouvelle de Victoriaville, pour sa part, signala : « Les Corigis nous arrivent avec un spectacle tout à fait nouveau en son genre et qui connaîtra sûrement autant de succès que les précédents »[17].

Troisième saison

Les pièces L'Agent secret 000, Cocasse, Cocotte et Cendrillon ainsi que Les Corigis chez les Indiens meublèrent la troisième saison. Les Corigis se produisaient aussi loin que Chicoutimi et Rimouski, soit à plus de 500 kilomètres de leur ville d'origine. Le rire trônait, dans ces pièces, mais il y avait toujours de l'espace pour promouvoir des belles valeurs, tel que l'affirma Michèle Bouvette, du club social L'Éveil féminin de la ville de Grand-Mère Inc., dans une lettre ouverte adressée au journal La Parole, de Drummondville : « Les Corigis accomplissent une tâche admirable pour répandre chez nos jeunes le goût admirable du beau, de l'art et de l'originalité »[18]. Déjà, à cette époque, la troupe sensibilisait les jeunes à la cause environnementale : « On remarque aussi quelques allusions à la pollution, qui sera le problème lorsque ces enfants, qui formaient l'assistance de samedi atteindront l'âge adulte », précisa Marcelle St-Laurent, dans sa critique, dans le journal Le réveil au Saguenay[19].

Le directeur de la troupe désirait rendre le théâtre pour enfants accessible à tous les jeunes. Aussi, son rêve devint réalité, lorsque le Ministère des Affaires Culturelles du Québec, bureau Mauricie/Bois-Francs, qui suivait depuis un bon moment, par le biais des articles de journaux, l'ascension de la troupe, décida d'accorder des subventions[20]. Les organismes de loisir des petites municipalités qui n'avaient pas les moyens financiers d'offrir des spectacles pour jeune public, voyaient ainsi, grâce aux subventions du Ministère des Affaires Culturelles, l'occasion d'inviter les Corigis à se produire chez eux. Les conditions n'étaient pas toujours propices à la présentation de pièces de théâtre. Les équipements techniques étaient souvent déficients ou carrément inexistants. Parfois, la troupe devait se limiter à jouer dans un gymnase, sans scène, dans un sous-sol d'église ou même dans un atelier quelconque.

Quatrième saison

La troupe entreprit une quatrième saison avec des pièces aux contenus toujours aussi variés : Les Corigis sur la planète des géants, qui sera jouée 16 fois à travers le Québec et Le Grand Fakir[21]. La reprise de la pièce Les Corigis chez les Indiens, subventionnée par le Ministère des Affaires Culturelles du Québec, fit l'objet d'une tournée dans plus d'une dizaine de villes et il en fut ainsi pour la cinquième saison. Cette pièce a été jouée 14 fois dans sa première version et 15 fois dans la deuxième. Pour les Corigis, « Diffuser le théâtre à un plus grand nombre possible d'enfants, présenter des pièces québécoises, faire rire. Voilà les objectifs de création théâtrale qui n'étaient pas courant à cette époque », mentionna Hélène Beauchamp, dans son livre sur le théâtre pour enfants [22].

Cinquième saison, et cessation des activités

Pour ce qui est de la saison 1974-1975, les pièces de théâtre Les Corigis chez les Indiens et Les Corigis sur la planète des géants et la nouvelle production Les Corigis dans une histoire de jungle, firent l'objet de tournées provinciales, dont certaines ont été subventionnées par le Ministère des Affaires culturelles du Québec, bureau Mauricie/Bois-Francs. Pour répondre à la demande toujours grandissante, le directeur de la troupe dû mettre sur pied, une deuxième troupe de théâtre pour enfants. L'une des deux troupes se consacrait uniquement aux tournées provinciales[23]. Les troupes jouaient leurs propres pièces respectives, alternant de semaines en semaines, afin de permettre aux comédiens de faire une pause pour se reposer.

La troupe a finalement, quand mĂŞme, cessĂ© ses activitĂ©s. Quelques facteurs peuvent expliquer cette dĂ©cision. Ă€ cette Ă©poque, le prix moyen d'un billet de spectacle pour adultes Ă©tait environ $ Ă  10 $, alors que le prix d'un billet pour assister Ă  une pièce de théâtre pour enfants, oscillait entre 50 Â˘ et 75 Â˘, rarement $. « Pourtant, une pièce de théâtre pour enfants exige des dĂ©cors, des costumes, du maquillage, de la publicitĂ©, des appareils techniques, etc., tout comme une troupe pour adultes »[2]. Les revenus ne suffisaient pas toujours Ă  Ă©quilibrer les budgets nĂ©cessaires au bon fonctionnement financier de la troupe. Il devenait Ă©galement plus difficile de trouver des comĂ©diens qui pouvaient correspondre aux exigences de plus en plus rigoureuses des tournĂ©es. Ce n'Ă©tait pas toujours facile, pour ces bĂ©nĂ©voles, de soutenir un tel rythme, sans en ressentir des effets palpables sur leurs Ă©tudes ou leur travail. Il fallait aussi rĂ©gulièrement repartir Ă  zĂ©ro, lorsque des comĂ©diens partaient Ă  l'extĂ©rieur de la ville, pour poursuivre leurs Ă©tudes. LĂ  aussi, il fallait recommencer et former une nouvelle Ă©quipe, en inculquant aux nouvelles recrues, au moins quelques rudiments de base en art dramatique, ce qui devenait astreignant pour le metteur en scène. Le tout conjuguĂ© au dĂ©part du producteur, pour occuper un poste au niveau scolaire, mit un terme Ă  cette aventure.

Influence

Comme les bénévoles, qui consacraient leur temps de loisirs au sein de cette troupe, étaient des amateurs, tout n'était pas toujours totalement parfait. René Lord, du journal quotidien Le Nouvelliste de Trois-Rivières, tempère, dans sa critique, au sujet de la troupe : « Les textes, qui présentent une qualité esthétique parfois discutable, n'en possèdent pas moins une valeur dramatique indéniable »[16]. Il faut souligner que Les Corigis n'hésitaient pas à expérimenter différents genres de théâtre : le burlesque, les aventures, les intrigues, les contes, les comédies musicales et même une pièce à caractère socio-politique. Jacques Matthieu du journal régional quotidien La Tribune de Sherbrooke, fit remarquer que « Les Corigis sont considérés comme les pionniers à Drummondville dans le domaine du théâtre pour enfants. Le directeur Richard Alarie a réalisé quantité de précédents; il a ouvert la porte aux futures troupes de théâtre pour enfants à Drummondville »[24]. Comme a pu conclure Jean-Pierre Boisvert, du journal L'Express, lors du 45e anniversaire de fondation de la troupe : « Les Corigis avaient fait les belles années du théâtre pour enfants, non seulement à Drummondville, mais également dans plusieurs villes du Québec, où ils furent applaudis par plus de 85000 spectateurs »[25].

Pièces jouées et dates de leurs premières

  1. Voyage sur la planète mars : + tournée et théâtre d'été, pour enfants
  2. Cocasse et Cocotte Ă  l'Ă©cole :
  3. Dracula et les Corigis :
  4. Les Corigis en vacances :
  5. Cocasse la tĂŞte vide :
  6. Cocasse et Coquerelle au cirque : (1 200 enfants)
  7. Les adieux de Coco :
  8. Le bal des Corigis : + tournée
  9. Une folle leçon de judo :
  10. La momie Inca-Pable :
  11. Les Corigis à l'aréna : (2500 enfants)
  12. Sacré vieillesse, folle jeunesse : (pièce de théâtre pour adultes, jouée par «Les Incorrigibles»)
  13. Le Club des Corigis : et les samedis suivants (Ă©missions radiophoniques hebdomadaires, pour enfants)
  14. L'agent secret 000 :
  15. Cocasse, Cocotte et Cendrillon : + tournée
  16. Les Corigis chez les Indiens : + tournée
  17. Les Corigis sur la planète des géants : + tournée
  18. Le Grand Fakir : + tournée
  19. Les Corigis dans une histoire de jungle : + tournée

Quelques critiques et commentaires

  • Radio-Canada (AndrĂ© PagĂ©, directeur des programmes pour enfants) : « Les personnages des Corigis sont Ă©toffĂ©s et ils sont drĂ´les: le moins qu'on puisse dire, c'est que l'auteur n'est pas Ă  court d'idĂ©es ».
  • La Parole (Drummondville) (article d'un critique): « Le jeu des comĂ©diens s'avère solide. Ils mĂ©ritent l'encouragement du public » [26].
  • Revue En coulisse : « Le directeur des Corigis a eu l'avantage de travailler avec des comĂ©diens professionnels de la tĂ©lĂ©vision montrĂ©alaise »[27].
  • Le RĂ©veil au Saguenay (critique) : « Il y a d'excellents Ă©lĂ©ments: la participation des enfants Ă  certaines scènes, notions de civisme, pollution » [19].
  • L'Union (Victoriaville) : « C'est un merveilleux spectacle Ă  ne pas manquer »[28]
  • La Tribune (Sherbrooke) : « L'expĂ©rience de la troupe Les Corigis leur a permis de dĂ©couvrir les vĂ©ritables dĂ©sirs des enfants en matière de théâtre pour enfants »[15].
  • Le Nouvelliste (Trois-Rivières) (critique de RenĂ© Lord) : « Les Corigis se sont acquis chez les enfants de Drummondville et de la rĂ©gion, un public unique par son enthousiasme et sa fidĂ©litĂ© »[16].

Bibliographie

  • HĂ©lène Beauchamp, Le théâtre pour enfants au QuĂ©bec: 1950-1980, Lasalle, QuĂ©bec, Hurtubise, coll. « littĂ©rature », , p. 58
  • Édouard G. Rinfret, Le théâtre canadien d'expression française rĂ©pertoire analytique des origines Ă  nos jours, MontrĂ©al, LemĂ©ac, , 392 p.
  • Guides bibliographiques du théâtre quĂ©bĂ©cois, RĂ©mi Tourangeau, Publications du Centre de Documentation en lettres quĂ©bĂ©coises, UniversitĂ© du QuĂ©bec Ă  Trois-Rivières, 1980.

Notes et références

  1. Rinfret 1975, p. 13-14.
  2. Beauchamp 1985, p. 59.
  3. Beauchamp 1985, p. 58.
  4. « Second succès des Corigis », La Parole,‎
  5. « Les Corigis », En coulisse,‎ mai 1970 - no 6
  6. « Avec les Corigis, du théâtre pour enfants dans les parcs de la cité », La Parole,‎
  7. (en + et + fr) « For the recreation of your children », Revue du camping du Parc des Voltigeurs,‎
  8. « Lise Surprenant, 10 ans, gagne une bicyclette au 3e spectacle des Corigis », La Parole,‎
  9. « Un triomphe Les Corigis font salle comble au Centre Culturel », La Parole,‎
  10. « Les Corigis se préparent en vue d'un spectacle, le 31 janvier », La Parole,‎
  11. « Fête de Noël », Club d'administration Chemcell administration club,‎
  12. « Nouvelle émission à CHRD: Le Club des Corigis », La Parole,‎
  13. R.T. (Victoriaville), « Pièce de théâtre pour les enfants », La Tribune (Sherbrooke),‎
  14. « Pour la joie des petits Une 4e saison fort remplie attend la troupe Les Corigis », La Parole,‎
  15. RG, « Les Corigis continuent d'épater les enfants de Drummondville », La Tribune,‎
  16. René Lord, « Les Corigis de Drummondville: ils ont gagné le public enthousiaste des enfants », Le Nouvelliste,‎
  17. « Loisirs Victoriaville Théâtre pour enfants au centre de loisirs, dimanche, Les Corigis chez les indiens », La Nouvelle,‎ , p. 11
  18. Michèle Bouvette, « Les Corigis », Lettre ouverte dans le journal La Parole,‎
  19. Marcelle St-Laurent, « Les Corigis, du camping chez les indiens et... à l'Auditorium Dufour », Le Réveil au Saguenay,‎
  20. « Le Ministère des Affaires culturelles subventionne « Les Corigis » », La Parole,‎
  21. Jacques Matthieu, « Le rideau tombe sur les Corigis », La Tribune,‎
  22. Beauchamp 1985.
  23. « Saison fructueuse chez « Les Corigis » », La Parole,‎
  24. Jacques Matthieu, « Popularité à la hausse chez « Les Corigis » », La Tribune,‎
  25. Jean-Pierre Boisvert, « Un souper-retrouvailles plein de souvenirs pour les Corigis », L'Express,‎
  26. Yves Guay, « La Folle leçon de judo vue par un critique », La Parole,‎
  27. Jocelyn Alarie, « Les Corigis », En Coulisse,‎ mai 1970, no 6
  28. « Les Corigis chez les indiens », L'Union (Cahier 2 - Page 1),‎
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