Le Couac (journal)
Le Couac est un mensuel québécois qui se définit comme « un journal satirique libre et indépendant[1] » dans le style du Canard enchaîné. Il a été fondé en 1997 par Jean-François Nadeau et Pierre de Bellefeuille. Au nombre de ses premiers collaborateurs, on compte les cinéastes Pierre Falardeau et Pierre Perrault, les écrivains Pierre Vadeboncœur, Victor-Lévy Beaulieu et Louis Hamelin.
Sa première devise était Couac on dise, couac on fasse..., en référence au célèbre discours de Robert Bourassa le à la suite du blocage de l'Accord du Lac Meech. Il a ensuite eu d'autres devises : Un drôle d'oiseau et je pense donc je nuis.
Le fonds d'archives du journal Le Couac est conservé au centre d'archives de Montréal de Bibliothèque et Archives nationales du Québec[2].
Collaborateurs
- Francis Dupuis-DĂ©ri
- Pierre de Bellefeuille
- Pierre Vadeboncœur
- Bruno Dubuc
- David Ledoyen
- Martin Petit
- ClĂ´de de Guise
- Jacques Bouchard
- Simon Tremblay-Pepin (aujourd'hui chez IRIS)
- Éric Martin (aujourd'hui chez IRIS et Cégep Édouard-Montpetit)
- Isabelle Baez
- Michel Rioux
- Musironie
- Eve-Lyne Couturier
- Marco De Blois
- Pierre Falardeau
- Guillaume Beaulac
- Anne-Marie Provost
- Ludvic Moquin-Beaudry
- Roger Rashi
- Marc-André Cyr
- Louise-Caroline Bergeron
- Claude G. Charron
- Martin Dufresne
- Robert Beaudry (bobidoche)
- Ramon Vitesse
- François Cavaillès
- Yvon D. Ranger
- Valentin Tardi
- Claire Lapointe
- Christian Vanasse
- Étienne Després
- Coopérative Molotov
- Alexandre Leduc
Notes et références
- http://www.lecouac.org/
- Fonds journal Le Couac (P838) - Bibliothèque et Archives nationales du Québec (BAnQ).
Lien externe
- (fr) Le Couac - Sur la collection numérique de la BANQ.
Bibliographie
- Dix ans de Couacs. Je pense donc je nuis, 2007.