La Terre est un être vivant, l'hypothèse Gaïa
La Terre est un être vivant, l’hypothèse Gaïa (titre original : Gaia, a new look at life on earth) est un essai scientifique de James Lovelock publié en 1979[1], en anglais. La traduction française chez Flammarion date de 1993.
La Terre est un être vivant, l’hypothèse Gaïa | |
Auteur | James E. Lovelock |
---|---|
Pays | Royaume-Uni |
Genre | Essai scientifique |
Version originale | |
Langue | Anglais britannique |
Titre | Gaia, a new look at life on earth |
Éditeur | Oxford University Press |
Lieu de parution | Oxford |
Date de parution | 1979 |
Version française | |
Traducteur | Paul Couturiau et Christel Rollinat |
Éditeur | Flammarion |
Collection | Champs (no 283) |
Lieu de parution | Paris |
Date de parution | 1993 |
Type de média | Livre papier |
Nombre de pages | 183 |
ISBN | 2-08-081283-1 |
La préface a été écrite par Gérard Blanc, directeur de la revue CoEvolution[2].
Sommaire
- Introduction
- À l’origine
- La reconnaissance de Gaia
- La cybernétique
- L’atmosphère contemporaine
- Les eaux
- Gaia et l’Homme: le problème de la pollution
- Vivre avec Gaia
- Épilogue
Annexe : Réponses à quelques critiques par Gérard Blanc
Notes et références
- Sébastien Dutreuil, « James Lovelock’s Gaia hypothesis: "A New Look at Life on Earth" »,
- « l’hypothèse Gaïa - trajectoire et réception », sur controverses.sciences-po.fr
Articles connexes
Lien externe
Cet article est issu de wikipedia. Text licence: CC BY-SA 4.0, Des conditions supplémentaires peuvent s’appliquer aux fichiers multimédias.