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La Femme du pasteur

La Femme du pasteur ou La Femme du prédicateur au Québec (The Preacher's Wife) est un film américain de Penny Marshall sorti en 1996.

La Femme du pasteur

Titre québécois La Femme du prédicateur
Titre original The Preacher's Wife
RĂ©alisation Penny Marshall
Scénario Nat Mauldin
Allan Scott
Acteurs principaux
Sociétés de production The Samuel Goldwyn Company
Touchstone Pictures
Parkway Productions
Mundy Lane Entertainment
Pays de production Drapeau des États-Unis États-Unis
Durée 124
Sortie 1996

Pour plus de détails, voir Fiche technique et Distribution

Il s'agit du remake de Honni soit qui mal y pense (1947).

Synopsis

Henry Biggs (Courtney B. Vance) est le pasteur d’une église baptiste à New York qui est confrontée à des difficultés financières et un déclin de l’assistance[1]. Il néglige de plus en plus sa famille, et en réponse à l'une de ses prières, l'ange Dudley (Denzel Washington) vient à son secours[2]. Mais il tombe amoureux de la femme du pasteur, Julia (Whitney Houston).

Résumé

Une voix off celle du petit Jérémiah (Justin Pierre Edmund) guide le spectateur tout au long du film.

Le révérend Henry Biggs (Courtney B. Vance) est le pasteur d'une petite église baptiste en déconfiture dans un quartier pauvre de New York. La fréquentation décline, Henry est tiraillé dans tous les sens par les besoins de ses paroissiens, et les finances de l'église sont en mauvais état. Henry est soumis à une intense pression par le promoteur immobilier Joe Hamilton (Gregory Hines) pour qu’il vende les biens de l'église afin que Hamilton puisse construire des condominiums de luxe sur son emplacement. Henry est également devenu négligent envers sa femme, Julia (Whitney Houston), et son fils, Jérémiah. Julia craint que son mariage soit en train de se défaire. Doutant qu'il puisse changer la vie de ses paroissiens et commençant à perdre sa foi, Henry implore l’aide de Dieu, et elle vient sous les traits de Dudley (Denzel Washington), un ange spirituel et débonnaire. Dudley dit à Henry qu'il est un ange envoyé par Dieu pour l'aider, mais Henry est se méfie beaucoup de lui. Julia, au contraire, est instantanément séduite par la beauté et le calme de l'ange.

Avec l'approche de Noël, le calendrier de Henry s’alourdit de plus en plus, et Dudley commence à passer la plus grande partie de son temps avec Julia et Jérémie. La secrétaire du pasteur, Beverly (Loretta Devine), devient agressive, croyant Dudley est là pour lui prendre son travail. La mère de Julia, Margueritte (Jenifer Lewis), qui a la langue acérée, se méfie elle aussi de Dudley, parce qu'elle croit que le nouveau venu va briser le mariage de sa fille. Dudley et Julia vont faire du patin à glace, puis plus tard, passent une soirée dans le club de jazz où Julia se produisait autrefois. Après Henry s’est heurté à Dudley, celui-ci se rend compte qu'il est en train de devenir amoureux de Julia. Il s’occupe alors de Hamilton, et parvient à brouiller les plans de Hamilton pour obtenir de Henry qu’il lui vende l'église. Henry se rend compte alors que sa famille est la chose la plus importante dans sa vie, et il décide d'être un meilleur mari et un meilleur père. Au spectacle de Noël de l'église, Henry retrouve sa foi en Dieu et restaure ses liens avec sa famille.

Une fois son travail fait, Dudley donne à la famille Biggs en cadeau un arbre de Noël entièrement décoré. Il efface ensuite tous les souvenirs de lui-même chez tous ceux qu'il a rencontrés, et bien qu'il assiste à un service de minuit pour la veillée de Noël, personne ne le reconnait. Jérémie, qui a une foi d’enfant, se souvient encore de Dudley, et lui souhaite un joyeux Noël.

Une intrigue secondaire présente tout au long du film se concentre sur les talents de Julia dans le chant. Autrefois chanteuse dans un nightclub populaire, elle est maintenant une star dans le chœur de l'église. Cette intrigue secondaire est le prétexte à plusieurs épisodes dans lesquels le chœur se produit et où la musique Gospel joue un rôle important. Elle apporte également un aspect comique en la personne d'un chef de chorale dominateur.

Fiche technique

Distribution

Note : La VF n'a été utilisée que lors de sa sortie au cinéma. Le DVD contient le doublage québécois.

Nomination

Notes et références

  1. Leonard Klady, The Preacher’s Wife, variety.com, USA, 14 décembre 1996
  2. Stephen Holden, Did Somebody Send for an Angel?, nytimes.com, USA, 13 décembre 1996

Liens externes

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