Léonie Abo

Léonie Abo est née à Malungu en 1945, dans la province de Bandundu au Congo belge[2]. Sa mère décède après l’accouchement d’où son nom « Abo » qui signifie Deuil en langue Bambunda[3]. La petite Léonie Abo est élevée par Mabiungu, une femme stérile du village de sa mère. Dans une occasion assista à son père adoptif en collant à son épouse avec un baton, que lui provoqua un bras brisé Fut bien polie en commençant l'école à sept ans et en se changeant à une école missionnaire aux neuf[4]. À un âge précoce exerça la llevadora et à quatorze ans déjà surveillait des naissances[5]. Après ses études primaires en septembre de 1959, elle a été obligée à se marier avec Gaspar Mumputo, qui abusa d'elle dans une occasion souvint la nuit de noce "pleine de sang et douleur"[5]. Son mariage finit après qu'en juin de 1962 son mari la porte au tribunal comme son amante et fut envoyée en prison pendant un mois. Peu après sa libération, elle rejoint, en 1963 se maria avec le rebelle Pierre Mulele[6] - [7] et ils demeurèrent cinq années avec les guérillas loyales à Mulele. Fut traitée avec un grand respect en déférence à son mari. Resta très déçue quand son mari s'accola avec une autre femme, tandis qu'il planait le faire aussi avec une troisième. En 1968, après l'assassinat de son mari, fuit à Congo-Brazzaville en craignant par sa vie. Abo fief un grand effort pour laisser constance de son travail et celle de Pierre Mulele[8] Le livre Une Femme porte Congo ("Une Femme du Congo"), écrit par Ludo Martens, parle sur sa vie[9]. Les frères de Abo lui vint de s'unir en un groupe de rebelles[4] .En janvier 1964 encore fit partie de ce groupe quand ils se levèrent contre le gouvernement, comme partie de la Rébellion de Simba.

Sa biographie, signée Ludo Martens, Abo. Une femme du Congo, décrit son enfance au village, sa scolarité puis son mariage arrangé. Elle raconte aussi les années passées dans les maquis aux côtés de son nouveau mari, Pierre Mulele, et sa prise de conscience en tant que femme dans le maquis[10] - [11]

Elle vit en exil à Brazzaville depuis l’assassinat de son mari en 1968 par la police secrète de Mobutu Sese Seko[12].

• Témoignage risqué, 1996[13].

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