Léon Aréga
Léon Aréga, né en à Przasnysz, en Pologne (dans la partie alors dépendante de l’Empire russe), est le pseudonyme d’un écrivain français[1] - [2].
Œuvres
- Comme si c’était fini, Paris, Éditions Gallimard, coll. « Blanche », 1946, 361 p. (BNF 34195469)
- À l’essai, Paris, Éditions Gallimard, coll. « Blanche », 1951, 259 p. (BNF 31728867)
- Le Même Fleuve, Paris, Éditions Gallimard, coll. « Blanche », 1954, 216 p. (BNF 31728869)
- Pseudonymes, Paris, Éditions Gallimard, coll. « Blanche », 1957, 252 p. (BNF 31728870)
- Aucune trace, Paris, Éditions Gallimard, coll. « Blanche », 1963, 239 p. (BNF 32905720)
- Le Débarras, Paris, Éditions Gallimard, coll. « Blanche », 1967, 223 p. (BNF 32905721)[3] - [4]
Annexes
Notes et références
- David Nahmias, « Léon Aréga », Les Trompettes Marines, (lire en ligne).
- (en) Arnold Mandel (Origine : Encyclopaedia Judaica), « Aréga, Léon », sur www.encyclopedia.com (consulté le ).
- Jacqueline Piatier, « " Le Débarras " de Léon Aréga », sur Le Monde.fr, Le Monde, (ISSN 1950-6244, consulté le ).
- Maurice Chavardès, « Les naufragés », La Quinzaine Littéraire, no 25, , p. 6 (ISSN 0048-6493, lire en ligne, consulté le ).
Bibliographie
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