Accueil🇫🇷Chercher

Khoda Baksh Chowdhury

Mohammad Khoda Baksh Chowdhury, né le est un ancien inspecteur général (en) de la police du Bangladesh (en). Il est l'un des condamnés dans l'affaire de l'attentat à la grenade de Dacca en 2004.

Khoda Baksh Chowdhury
une illustration sous licence libre serait bienvenue
Biographie
Naissance
Nationalité
Formation

Formation et jeunese

Chowdhury est né le dans le district de Chittagong[1]. Il est diplômé de l'université de Dacca en 1969[2].

Carrière

Chowdhury a rejoint la police du Bangladesh en 1979[1]. Il est devenu commissaire de police de la police métropolitaine de Dacca (en) en 2001. Il a ensuite occupé le poste de chef du département d'investigation crininelle (en) (CID). Le , il a été nommé directeur général du Bataillon d'action rapide par le gouvernement intérimaire[3]. Deux jours plus tard, il a été promu inspecteur général de la police du Bangladesh en remplacement d'Anwarul Iqbal (en)[4].

Chowdhury a été président de l'Association des services de police du Bangladesh (BPSA) en 2006[1].

Affaire de l'attentat à la grenade de 2004 à Dhaka

En , Chowdhury, ainsi que deux autres anciens inspecteurs généraux, se sont rendus devant le tribunal du Chief Metropolitan Magistrate de Dacca pour l'affaire de l'attentat à la grenade en 2004 et ont été envoyés en prison. L'avocat de la Cour suprême Rafique-ul Haque a plaidé la cause de Khoda Baksh[5] - [6]. Chowdhury a été libéré sous caution de la prison centrale de Dacca en [7]. Alors qu'il servait en tant qu'officier en service spécial (OSD), il a été envoyé en retraite forcée par le gouvernement en [8].

En , Chowdhury a été reconnu coupable d'avoir trompé l'enquête et d'avoir monté l'histoire de « Joj Mia » et a été condamné à deux ans de prison[9].

Le 26 juin 2005, Joj Mia, un petit délinquant, a avoué au magistrat sa participation au crime en vertu de l'article 164. L'histoire s'est effondrée à la suite du journalisme d'investigation qui a découvert des failles dans l'histoire officielle[10]. Jamal Ahmed, également connu sous le nom de Joj Mia, a été contraint de faire de faux aveux. Il a été contraint d'impliquer le groupe Seven-Star, dirigé par Subrata Bain, sous la torture des forces de sécurité pendant le règne du BNP[11].

Références

(en) Cet article est partiellement ou en totalité issu de la page de Wikipédia en anglais intitulée « Khoda Baksh Chowdhury » (voir la liste des auteurs).

  1. (en) « BPSA new committee: Adl DIG Khoda Baksh president, SP Bakhtiar GS », sur bdnews24.com (consulté le )
  2. (en) « Notable alumni », sur du.ac.bd (consulté le )
  3. (en) « Major shakeup in police admin. Changes in army too; Maj Gen Manirul made new SSF chief », sur The Daily Star Web Edition Vol. 5 Num 949, (consulté le )
  4. (en) « IGP, new DG RAB removed in another police shuffle », sur bdnews24.com (consulté le )
  5. (en) Julfikar Ali Manik et Rakib Hasnet Suman, « Tarique not returning », sur The Daily Star, (consulté le )
  6. (en) « 3 former police chiefs land in jail », sur bdnews24.com (consulté le )
  7. (en) Staff Correspondent, « 5 former top cops out on bail », sur The Daily Star, (consulté le )
  8. (en) « Two Addl DIGs sent on forced retirement - National », sur News Bangladesh, (consulté le )
  9. (en) Shakhawat Liton et Chaitanya Ch, « August 21 attack: 'State-backed crime' punished », sur The Daily Star, (consulté le )
  10. (en) Rashidul Hasan, « One man shame for judiciary », sur The Daily Star, (consulté le )
  11. (en) « Joj Mia gives deposition », sur web.archive.org, (consulté le )
Cet article est issu de wikipedia. Text licence: CC BY-SA 4.0, Des conditions supplémentaires peuvent s’appliquer aux fichiers multimédias.