Kéléfa Sall
Kéléfa Sall, né en 1958 en Guinée et décédé le à l’hôpital de l'amitié sino-guinéenne à Conakry[1], est un magistrat guinéen.
Kéléfa Sall | |
Fonctions | |
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Président de la Cour Constitutionnelle de Guinée | |
– (3 ans, 5 mois et 21 jours) |
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Président | Alpha Condé |
Prédécesseur | Institution créée |
Successeur | Mohamed lamine Bangoura |
Biographie | |
Date de naissance | |
Date de décès | |
Lieu de décès | Conakry |
Nature du décès | Problème cardiaque |
Sépulture | cimetière de Cameroun (Conakry) |
Nationalité | Guinéenne |
Enfants | Nantènin Sall, Khaite Sall, Sirandou Sall, Fatoumata Sall, Salimatou Sall |
Profession | Magistrat |
Religion | Islam |
Ancien président de la Cour Constitutionnelle guinéenne depuis la création de l’institution en 2015 jusqu’à sa destitution en 2018[2] - [3].
Biographie
Discours historique
Lors de la seconde investiture du président Alpha Condé en 2015[4], Kelefa Sall s’immortalise avec son discours :
« La conduite de la nation doit nous réunir autour de l’essentiel. Ne nous entourons pas d’extrémistes, ils sont nuisibles à l’unité nationale. Évitez toujours les dérapages vers les chemins interdites en démocratie et en bonne gouvernance. Gardez-vous de succomber à la mélodie des sirènes révisionnistes. Car, si le peuple de Guinée vous a donné et renouvelé sa confiance, il demeure cependant légitimement vigilant »[5] - [6]
Références
- RFI, « Guinée : décès de Kéléfa Sall, ancien président de la Cour constitutionnelle », sur rfi.fr, (consulté le ).
- « Élu président de la Cour Constitutionnelle, Kéléfa Sall boude la presse - Guinee7.com », sur Guinee7.com, (consulté le ).
- « Guinée: crise au sein de la Cour constitutionnelle - RFI », sur RFI Afrique (consulté le )
- FRANCE 24, « Guinée : la Cour constitutionnelle valide la réélection d'Alpha Condé », sur france24.com, (consulté le ).
- « Kéléfa Sall, le premier Amoulanfé de la Guinée / Guineeactuelle.com », sur Guineeactuelle.com, (consulté le ).
- https://guineematin.com/2019/07/28/kelefa-sall-le-magistrat-qui-ne-voulait-pas-dun-3eme-mandat-pour-alpha-conde/amp/