Josiane Péné
Josiane Péné, née Josiane Le Gougaud en 1959, est la première sémaphoriste française.
Josiane Péné

| Naissance | |
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| Surnom | 
La reine de petit bout du Havre  | 
| Nationalité | |
| Activité | 
Sémaphoriste ( -  | 
| Distinctions | 
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Biographie
En 1970, à l'âge de 21 ans, Josiane Péné rejoint son mari Jean-André Péné, sémaphoriste de la barre d'Étel à Plouhinec[1]. En 1980, celui-ci tombe malade. Josiane Péné assure alors les veilles pour le remplacer. Lorsque celui-ci meurt en 1980, elle prend sa relève[2]. Elle devient la première femme sémaphoriste de France. En 1993, FR3 lui consacre un documentaire[3]. En 2016, à 67 ans, elle prend sa retraite et quitte le sémaphore[4]. Trois personnes la remplacent à ce poste[5].
Distinctions
- Chevalière dans l'ordre du Mérite maritime
 - Chevalière dans l'ordre national du Mérite
 
Notes et références
- Christian Gouerou, « Au sémaphore, elle tient la barre devant Etel », sur vannes.maville.com, (consulté le )
 - « Mérite. Josiane Péné, la femme du sémaphore », sur Le Telegramme, (consulté le )
 - « l'Ouest en mémoire - Josiane la sémaphoriste - Ina.fr », sur l'Ouest en mémoire, (consulté le )
 - « Bretagne : Josiane dit adieu au sémaphore d'Étel », sur Franceinfo, (consulté le )
 - Isabelle Rettig, « Etel (56) : Josiane lâche la barre », sur France 3 Bretagne, (consulté le )
 
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