Joseph Auriol
Joseph Auriol, né le à Salses (Pyrénées-Orientales)[1], et mort le à Dumbéa[2] (Nouvelle-Calédonie), lieudit Koé, est un prêtre catholique français condamné aux travaux forcés en 1882. Il est accusé d'avoir empoisonné deux sœurs, paroissiennes de Nohèdes, où il exerce, après les avoir incitées à l'avoir désigné comme héritier.
Notes et références
- Archives départementales des Pyrénées-Orientales acte de naissance no 42 dressé le 26/05/1853, vue 171 /295
- Archives départementales des Pyrénées-Orientales Transcription sur le registre d'état civil de Nohèdes le 04/10/1889 sous le no 20 de l'acte de décès de Joseph Auriol dressé à Dumbéa le 18/04/1889, vue 178 / 241
Voir aussi
Bibliographie
- « L’affaire abbé Auriol - L'intégrale », sur Europe 1 (consulté le )
- Albert Bataille, « Le curé empoisonneur de Nohèdes », dans Causes criminelles et mondaines de 1882, E. Dentu, Libraire de la société des gens de lettres, (lire en ligne)
- Pierre Bécat, Le crime du curé de Nohèdes, Nouvelles Editions Latines, , 158 p.
- Lionel Dumarcet, L'affaire abbé Auriol, De Vecchi, , 142 p.
Cet article est issu de wikipedia. Text licence: CC BY-SA 4.0, Des conditions supplémentaires peuvent s’appliquer aux fichiers multimédias.