Accueil🇫🇷Chercher

Jennifer Scappettone

Jennifer Scappettone[1], née en 1972 dans la ville de New York, est une poète, traductrice et universitaire américaine[2]. Elle enseigne les langues et la littérature romanes, plus spécialement l'italien à l'université de Chicago depuis 2006[3].

Jennifer Scappettone
une illustration sous licence libre serait bienvenue
Biographie
Naissance
Nationalité
Formation
Activité
poète, traductrice et universitaire américaine
Autres informations
A travaillé pour
Domaine
Littérature romane, littérature italienne

Biographie

En 2005, Jennifer Scappettone a obtenu son doctorat (Ph.D) auprès de l'université de Californie à Berkeley[4].

Elle a enseigné à l'université de Californie à Berkeley, à l'université Wesleyenne, à l'université de Virginie, et à la Naropa University avant de rejoindre l'université de Chicago.

Elle est régulièrement publiée dans les revues et magazines tels que : Boston Review[5], Asymptote, Best American Poetry Blog[6], Gulf Coast[7], Lana Turner, Washington Sqare[8], G A M M M[9], Zoland[10] , The Brooklyn Rail[11], Bombay Gin[12], The Paper Nautilus[13], American Poetry review[14], Sibila[15], Poetry[16], etc.

Œuvres

Recueils de poèmes

  • co écrit avec Lyn Hejinian & Etel Adnan, The Belladonna Elders Series #5, Belladonna Books, , 74 p. (ISBN 9780982338704),
  • From Dame Quickly, Litmus Press, , 105 p. (ISBN 9781933959061),
  • The Republic of Exit 43: Outtakes & Scores from an Archaeology and Pop-Up Opera of the Corporate Dump, Berkeley, Californie, Atelos, , 189 p. (ISBN 9781891190407)[17],
  • From A chorus fosse, Madison, Wisconsin, Oxeye Press, , 8 p. (OCLC 1013976068),

Essais

  • Killing the Moonlight: Modernism in Venice, New York, Columbia University Press, , 464 p. (ISBN 9780231164320)[18],

Articles

  • (en-US) « Site Surfeit: Office for Soft Architecture Makes the City Confess », Chicago Review, Vol. 51/52, Vol. 51, , p. 70-76 (7 pages) (lire en ligne Accès payant),
  • (en-US) « Utopia Interrupted: Archipelago as Sociolyric Structure in A Draft of XXX Cantos », MLA Journals, Volume 122, N° 1, , p. 105–123 (19 pages) (ISSN 0030-8129, lire en ligne Accès payant),
  • (en-US) « “Più mOndo i: / tUtti!”: Traffics of Historicism in Jackson Mac Low’s Contemporary Lyricism », Modern Philology, Volume 105, N° 1, , p. 185-212 (28 pages) (lire en ligne),
  • (en-US) « Response to Jennifer Ashton Bachelorettes, Even: Strategic Embodiment in Contemporary Experimentalism by Women », Modern Philology, Volume 105, N° 1, (lire en ligne)
  • (en-US) « Versus Seamlessness: Architectonics of Pseudocomplicity in Tan Lin's Ambient Poetics », Boundary 2, , p. 63–76 (lire en ligne),
  • (en-US) « Tuning as Lyricism: The Performances of Orality in the Poetics of Jerome Rothenberg and David Antin », Critical Inquiry, Vol. 37, No. 4, , p. 782-786 (5 pages) (lire en ligne Accès payant),
  • « Une Arcadie des ordures », ,Vacarme N° 79, , p. 104-107. (lire en ligne),
  • (en-US) « Of Fishiness, Flesh, and the Radical Undead », Boston Review, (lire en ligne),
  • (en-US) « Festina Lente: Invention of the Modernist Poet as Editor in the City of Aldus », Paideuma: Modern and Contemporary Poetry and Poetics, Vol. 42, , p. 57-84 (28 pages) (lire en ligne Accès payant),
  • (en-US) « The thick and the slow of knowledge », Jacket 2, (lire en ligne),
  • (it) « La santità dei santi padri », Alfabeta 2, (lire en ligne),
  • (it) « Venezia ovvero il presente discontinuo », Alfabeta 2, (lire en ligne),
  • (en-US) « Chloris in Plural Voices: Performing Translation of A “Moonstriking Death” », Translation Review, Volume 95, n°1, (lire en ligne Accès payant),
  • (en-US) « I 0we v. I/O. Poetics of veil-piercing on a corporate planet », Jacket 2, (lire en ligne),

Traductions

  • Locomotrix: Selected Poetry and Prose of Amelia Rosselli, a Bilingual Edition, University of Chicago Press, , 340 p. (ISBN 9780226728834)[19].

Expositions

  • Of the Monitor’s Fight, exposée à la Una Vetrina Gallery, Rome, September 2015[20],
  • Leave Loom: A Memory, à la WUHO Gallery de la Woodbury University, 2015[21],
  • Trash Triptych, Descrizione del Mondo, exposée à la Unione Culturale Antonicelli de Turin, printemps - été 2015[22],
  • Neosuprematist Webtexts, exposée à Gand et organisée par Infusoria[23], 2009[24].

Prix et distinctions

2012 : Prix de l'Academy of American Poets’s biennial Raiziss/De Palchi Book Translation Awards[25].

Références

  1. « Jennifer Scappettone | Creative Writing », sur creativewriting.uchicago.edu (consulté le )
  2. (en) Jennifer Scappettone, « Jennifer Scappettone », sur Jennifer Scappettone, (consulté le )
  3. (en) « Jennifer Scappettone | Department of English Language and Literature », sur english.uchicago.edu (consulté le )
  4. (en-US) « Jennifer Scappettone », sur Poetry Foundation, (consulté le )
  5. Nausicaa Renner, « Of Fishiness, Flesh, and the Radical Undead », sur Boston Review, (consulté le )
  6. « The Best American Poetry », sur The Best American Poetry (consulté le )
  7. (en-US) « FOUR WORKS by Jennifer Scappettone », Poets for Living Waters, (lire en ligne, consulté le )
  8. (en-US) « Home », sur Washington Square Review (consulté le )
  9. « 3 POEMS TRANSLATED / Amelia Rosselli. 1969 at G A M M M », sur gammm.org (consulté le )
  10. (ja) « 風俗嬢としか会話できない男 », sur www.zolandpoetry.com (consulté le )
  11. « First Italian Prose (1954) », sur brooklynrail.org (consulté le )
  12. (en) « 2006 - Bombay Gin 32 », sur www.naropa.edu (consulté le )
  13. « THE PAPER NAUTILUS », sur www.thepapernautilus.co.uk (consulté le )
  14. (en) « American Poetry Review - Amelia Rosselli - "Two Poems, translated from the Italian by Jennifer Scappettone" », American Poetry Review, (lire en ligne, consulté le )
  15. (en) « Poems from Locomotrix: »
  16. (en) Poetry Foundation, « Search », sur Poetry Foundation, (consulté le )
  17. (en) « Jennifer Scappettone - "The Republic of Exit 43" - Lauren Berlant | Seminary Co-op Bookstores », sur www.semcoop.com (consulté le )
  18. (en) « Venice by Electric Moonlight - Programs – Slought », sur slought.org, (consulté le )
  19. (en-US) « On Translating Amelia Rosselli | Printed_Matter », sur primolevicenter.org (consulté le )
  20. (it) « UNA VETRINA > Calendario », sur www.unavetrina.it (consulté le )
  21. (en-US) « Leave Loom / Casting Party | WUHO », sur wuho.architecture.woodbury.edu (consulté le )
  22. (it) « Jennifer Scappettone – Descrizione del mondo », sur www.descrizionedelmondo.it (consulté le )
  23. (en) « infusoria: an exhibition of visual poetry by women from three continents », sur www.krikri.be (consulté le )
  24. « infusoria » (consulté le )
  25. (en) aapone, « Raiziss/de Palchi Translation Awards », sur Raiziss/de Palchi Translation Awards, (consulté le )

Voir aussi

Bibliographie

  • (en-US) Charles Bernstein, « New at Sibila: Scappettone on Rosselli, Corbett on Eigner », Jacket 2, (lire en ligne)
  • (en-US) Margaret ronda, « On the poet-scholar », Jacket 2, (lire en ligne),
  • Lucie Taïeb, « Politique et poésie des déchets », Vacarme, N° 79, , p. 97-98 (lire en ligne)
  • (en-US) Alexis Almeida, « An Interview with Jennifer Scappettone », Asymptote, (lire en ligne),
  • (en-US) Orchid Tierney, « A review of Jennifer Scappettone's 'The Republic of Exit 43' », Jacket 2, (lire en ligne),

Liens externes

Cet article est issu de wikipedia. Text licence: CC BY-SA 4.0, Des conditions supplémentaires peuvent s’appliquer aux fichiers multimédias.