Hammou Talb

Hammou Talb est connu avec plusieurs noms comme « Sidi Hammou » et « Hammou g Azgruz »[1]. Il est aussi connu sous le nom de « Bab n Umarg » et « Sidi Ḥammu al-Ṭālib ».

Les dates de naissance et de décès de Hammou sont inconnues. Il est probable qu'il a vécu pendant la deuxième moitié du XVIII^e siècle[1].

Il est aussi probable qu'il est originaire du village d'Aoulouz dans la tribu d'Azegrouz[2].

Les détails de la vie de Hammou ne sont pas documentés sauf le fait qu'il a été un poète et chanteur (en tachelhit anḍḍam). Ceci est documenté par des chercheurs occidentaux en se basant sur des sources orales[2] - [1].

• Lhassane Andam, « Les genres littéraires Amazighes : Interaction entre oralité et écriture », dans Mohamed Djellaoui, Actes du 3^e Colloque international sur « La Problématique des genres littéraires amazighes : Définitions, dénominations et classifications », 2014, 36‒56 (lire en ligne)
• Paulette Galand-Pernet, Recueil de poèmes chleuhs : Chants de trouveurs, Paris, Klincksieck, 1972, 300 p. (ISBN 2-252-01415-6)
• (fr + shi) R. L. N. Johnston, « Fadma Tagurramt par Sidi Hammou dit G’zgrouz », Actes du XIV^e congrès des orientalistes (Alger 1905), Alger, Leroux, vol. 2,‎ 1907, p. 100-111 (lire en ligne)
• (en) Nico van den Boogert, Catalogue des manuscrits arabes et berbères du Fonds Roux, Aix-en-Provence, Iremam, coll. « Travaux et documents de l’Iremam » (n^o 18), 1995, 126 p. (ISBN 2-906809-17-9, lire en ligne)