Guy Jarnoüen de Villartay
Biographie
Guy Jarnouën de Villartay est né dans une famille d'ancienne bourgeoisie originaire de Bretagne[2], issue de Robert Jarnouën, sieur de Villartay (1623-1669), avocat au Parlement, bourgeois de Châteaubourg (Ille-et-Vilaine).
- Robert Jarnouën de Villartay, était en 1623, notaire et procureur à Vitré.
- Robert Jarnouën de Villartay (1687-1744), était docteur en médecine à Vitré.
- Jean Alexis Jarnouën de Villartaye (1706-1769), était chirurgien à Vitré.
- Victor Jarnouën de Villartay (1854-1920) était avoué à Dinan.
Guy Jarnouën de Villartay est le fils de Victor Jarnouën de Villartay et de Pauline de Saint-Quentin. Il est atteint d'une grave maladie et doit demeurer dans le Manoir familial de la Vallée au Petit-Paramé (Ille-et-Vilaine), où il réalise l'œuvre lyrique qui est saluée par son historiographe Léon Bocquet, notamment pour son recueil Les Mains Éteintes et pour ses écrits dans la revue L'Hermine de Louis Tiercelin. Il meurt à l'âge de 26 ans, le , entouré par les siens.
Ouvrages
- L'Ame d'un lys, poèmes, 1904[3]
- Les Mains éteintes, poèmes (1903-1905), Prélude par Louis Tiercelin
Références
- « Généalogie de Guy JARNOÜEN de VILLARTAY », sur Geneanet (consulté le ).
- Henri de La Messelière, Filiations Bretonnes, Prudhomme, Saint-Brieuc, 1914, T.III-p. 171-174
- sur google books
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