Grenoble olympique universitaire
Le Grenoble olympique universitaire est un club omnisports français basé à Grenoble, disparu dans les années 1950.
| Nom complet | Grenoble olympique universitaire |
|---|---|
| Fondation | 7 novembre 1919 |
| Disparition | Années 1950 |
| Siège | Grenoble |
| Sections anciennes |
Athlétisme Basket-ball Football Hockey sur gazon Rugby à XV |
Le club est fondé par Lucien Salamand[1] ; il est déclaré au Journal officiel comme créé le 7 novembre 1919 en tant que club de football, d'athlétisme et de hockey sur gazon[2].
Sections
Basket-ball féminin
Sous la direction d'Emilien Brun, les basketteuses remportent après la Seconde guerre mondiale cinq titres de championnes de France UFOLEP[3] avant de se distinguer ensuite dans les compétitions FFBB en remportant le championnat de France Honneur (deuxième division) lors de la saison 1947-1948, battant en finale le Pyrénéa Sports sur le score de 30 points à 16[4], puis le championnat de France Excellence (première division) en 1949. Le Grenoble OU s'incline en finale en 1950 contre le Club sportif Château-Thierry.
- Palmarès
- Championnat de France Honneur (D2) :
- Champion (1) : 1948
Rugby Ă XV
L'équipe de rugby à XV est éliminée en demi-finales du Championnat de France de troisième série 1919-1920 par Toulouse Lalande[6].
Notes et références
- « Comité directeur - Séance du 16 septembre 1957 », L'Athlétisme, Fédération française d'athlétisme, no 47,‎ , p. 18 (lire en ligne, consulté le )
- « Déclarations d'associations », Journal officiel de la République française, no 325,‎ , p. 13755 (lire en ligne, consulté le )
- Marie-Noëlle Servage, « La Ligue des Alpes », Pivot, Association française des entraîneurs de basket-ball, no 113,‎ , p. 4 (lire en ligne, consulté le )
- « Commission féminine - Séance du 16 septembre 1957 », Basket-ball, Fédération française de basket-ball, no 188,‎ , p. 10 (lire en ligne, consulté le )
- « CSCT Championnes de France 1950 contre Grenoble Olympic Université »
- « Toulouse Lalande jouera la finale », L'Auto-Vélo, no 7066,‎ , p. 3 (lire en ligne, consulté le )