Get Out (album)
Get Out est le deuxième album solo du musicien anglais de musique électronique Peter Rehberg, publié sous son nom de scène Pita.
Sortie | octobre 1999 |
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Genre |
Expérimental industriel glitch |
Format | CD, LP |
Label | Mego (MEGO 029) |
Albums de Pita
La musique a été créée entre juin 1998 et juin 1999 sur un Apple Powerbook 1400[1], "à Vienne, Paris, Oxford, Amsterdam, Tokyo et New York"[2].
Get Out est le premier de la série des «Get», et sera suivi au fil des années par quatre autres albums solo intitulés Get Down, Get Off, Get In, Get On.
La pochette, conçue par Tina Frank, existe dans deux déclinaisons: en bleu et en rouge.
Pistes
Piste de l'Ă©dition originale:
RĂ©Ă©dition de 2008
En 2008, une nouvelle édition est publiée par le label Editions Mego. Cette version comporte trois pistes supplémentaires, provenant d'un 12" split entre Pita et Kevin Drumm sorti en 2001 sur BOXmedia. Cette réédition a fait l'objet d'un remastering au studio Piethopraxis, à Cologne, en juillet 2007[1].
RĂ©ception critique
Pour Ben Beaumont-Thomas[3], ce deuxième album de Pita poursuit le travail exploratoire du son entamé avec Seven Tons for Free, et s'aventure plus loin dans la musique noise et ambient. Pour Olivier Lamm, la piste 3 de cet album "propulsait une cavalcade d’Ennio Morricone au fond d’un trou noir" et constitue l'un des sommets de l'œuvre de Rehberg[4].
Le critique musical Peter Margasak a décrit l'album dans les termes suivants[5]:
« Sound files collide, flow and overlap, as disfigured melodic shapes, tangled-up beats and penetrating tones explode in a furious barrage. »
Références
- « Get Out - Pita - Editions Mego », sur editionsmego.com (consulté le )
- (en) « Pita – Get Out », sur Discogs (consulté le )
- (en) Ben Beaumont-Thomas, « Peter Rehberg, underground musician and Editions Mego head, dies aged 53 », The Guardian,‎ (lire en ligne)
- Olivier Lamm, « Peter Rehberg, mort d’un pilier de la scène électronique », Libération,‎ (lire en ligne)
- (en) Neil Genzlinger, « Peter Rehberg, a Force in Underground Music, Dies at 53 », The New York Times,‎ (lire en ligne)