Gare de Ngaoundal
La gare de Ngaoundal est une gare ferroviaire, au Cameroun, du Transcamerounais. C'est la halte la plus importante sur le trajet, elle est située au sud de la ville de Ngaoundal.
Ngaoundal | |
Localisation | |
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Pays | Cameroun |
Ville | Ngaoundal |
Coordonnées géographiques | 6° 26′ 46″ nord, 13° 16′ 35″ est |
Gestion et exploitation | |
Propriétaire | État camerounais |
Exploitant | Camrail |
Services | Voyageurs et marchandises |
Caractéristiques | |
Ligne(s) | Transcamerounais |
Historique | |
Mise en service | |
Situation ferroviaire
la gare de Ngaoundal est située sur la section de Yaoundé à Ngaoundéré, du Transcamerounais, entre les gares de Ngaoundéré et de Mbitom.
Histoire
La gare est mise en service en 1973[1].
C'est une gare pour le fret et les voyageurs. Les femmes Mbororo séjournent aux environs de la gare de Ngaoundal pour vendre du lait[2].
Service des voyageurs
Accueil
La gare dispose d'un hall voyageurs abrité avec Guichet. Elle dispose d'une galerie marchande avec vente de souvenirs touristiques.
Desserte
Ngaoundal est desservice par le Transcamerounais, un train de voyageurs qui circule entre Yaoundé et Ngaoundéré. Il comprend des wagons lits et des wagons de premières et secondes classes. La durée du trajet peut être très variable[3]
Intermodalité
Elle dispose d'un parking pour les véhicules.
Service des marchandises
La gare est un port sec où transitent des marchandises. Elle dispose de terminaux et d'un parking pour les camions et le transport lourd.
Notes et références
- Programme Sectoriel Des Transports ; Evaluation Environnementale De La Mise En Concession Des Chemins De Fer Du Cameroun Rapport Final Novembre 1998 (lire en ligne), p. 7.
- Jean Boutrais, Les savoirs pastoraux des Mbororo de l’Adamaoua : évolution et rapports au développement (lire en ligne), p. 162
- Muriel Devey, « À bord du Transcamerounais : Voyage sur la ligne qui relie la capitale, Yaoundé, à l’une des principales villes du Nord, Ngaoundéré, dans l’Adamaoua. Le grand train, chaque jour, est bondé. Des raisons de cette surfréquentation et autres charmes du parcours… », Jeune Afrique,‎ (lire en ligne, consulté le ).