Gare d'Estivaux
La gare d'Estivaux est une ancienne gare ferroviaire française de la Ligne des Aubrais - Orléans à Montauban-Ville-Bourbon, située sur le territoire de la commune d'Estivaux, dans le département de la Corrèze en région Nouvelle-Aquitaine.
| Estivaux | |
Le site de l'ancienne gare. | |
| Localisation | |
|---|---|
| Pays | France |
| Commune | Estivaux |
| Lieu-dit | La Gare |
| Adresse | 19410 Estivaux |
| Coordonnées géographiques | 45° 19′ 08″ nord, 1° 28′ 20″ est |
| Gestion et exploitation | |
| Propriétaire | SNCF |
| Exploitant | fermée |
| Code UIC | 87594226 |
| Caractéristiques | |
| Ligne(s) | Les Aubrais - Orléans à Montauban-Ville-Bourbon |
| Voies | 2 |
| Altitude | 201 m |
| Historique | |
| Mise en service | |
| Fermeture | XXe siècle |
Mise en service en 1893, elle est fermée au trafic au cours du XXe siècle.
Situation ferroviaire
Établie à 201 mètres d'altitude, la gare d'Estivaux est située au point kilométrique (PK) 476,396 de la ligne des Aubrais - Orléans à Montauban-Ville-Bourbon, entre les gares ouvertes de Vigeois et de Allassac[1].
Elle est également située entre deux tunnels ferroviaires, au bord de la Vézère dont la vallée est ici encaissée, à proximité des ruines du Château de Comborn.
Histoire
La gare d'Estivaux est mise en service le par la compagnie du chemin de fer de Paris à Orléans, à l'ouverture de la section entre Limoges-Bénédictins et Brive via Uzerche.
La gare se situe à proximité immédiate du lieu de la catastrophe ferroviaire du tunnel de Pouch, qui fit 15 morts en 1908.
La date de sa fermeture est inconnue.
Patrimoine ferroviaire
L'ancien bâtiment voyageurs a été détruit et les quais n'existent plus[2] - [3].
Notes et références
- Reinhard Douté, Les 400 profils de lignes voyageurs du réseau français : lignes 601 à 990, vol. 2, La Vie du rail, , 239 p. (ISBN 978-2-918758-44-0), « [590/4] Limoges - Brive », p. 207.
- « Que sont devenues les gares ? », sur lemosin.net (consulté le ).
- « Massif Central Ferroviaire: Inventaire. Gare d'Estivaux », sur massifcentralferroviaire.com, (consulté le ).



