Frédéric de Birkenfeld-Gelnhausen
Frédéric Bernard, comte Palatin de Birkenfeld à Gelnhausen (né le à Gelnhausen où il est mort le ) est comte palatin de Birkenfeld à Gelnhausen de 1704 à 1739.
Titre
Comte palatin de Birkenfeld à Gelnhausen
–
(35 ans, 5 mois et 15 jours)
Prédécesseur | Jean de Birkenfeld-Gelnhausen |
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Successeur | Jean de Birkenfeld-Gelnhausen |
Titulature | Comte palatin de Birkenfeld à Gelnhausen |
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Dynastie | Wittelsbach |
Distinctions | Ordre de Saint-Hubert (Bavière) |
Nom de naissance | Friedrich Bernhard Pfalzgraf von Zweibrucken-Birkenfeld zu Gelnhausen |
Naissance |
Gelnhausen Landgraviat de Hesse-Cassel |
Décès |
Gelnhausen Landgraviat de Hesse-Cassel |
Père | Jean de Birkenfeld-Gelnhausen |
Mère | Esther Marie de Witzleben |
Conjoint | Ernestine Louise de Waldeck |
Enfants |
Louise Caroline de Birkenfeld-Gelnhausen Ernestine Auguste Frédérique de Birkenfeld-Gelnhausen |
Religion | Christianisme évangélique |
Biographie
Frédéric Bernard de Birkenfeld-Gelnhausen, né à Gelnhausen le est le fils aîné de Jean de Birkenfeld-Gelnhausen et de sa seconde épouse Esther Marie de Witzleben[1].
Le , il succède à son père en tant que comte Palatin de Birkenfeld-Gelnhausen. Il sert dans l'armée française en tant que colonel du régiment royal d'Alsace. Il est chevalier de l'Ordre de Saint-Hubert. Un traité de 1736, avec Caroline de Nassau-Sarrebruck, la régente de Zweibrücken, accorde à Frédéric-Bernard une allocation annuelle de 12000 florins[2].
Mariage et descendance
Frédéric Bernard épouse à Arolsen, le [3] Ernestine Louise de Waldeck (Kleinern - Gelnhausen ), fille du prince Frédéric-Antoine-Ulrich de Waldeck-Pyrmont et de Louise de Birkenfeld-Bischweiler[1].
Frédéric Bernard et Ernestine Louise ont deux filles[4] :
- Louise Caroline de Birkenfeld-Gelnhausen (Arolsen - Gelnhausen ) ;
- Ernestine Auguste Frédérique de Birkenfeld-Gelnhausen (Gelnhausen - Gelnhausen ).
Frédéric Bernard meurt à Gelnhausen, le , à l'âge de 42 ans, sans héritier mâle. Son frère cadet Jean de Birkenfeld-Gelnhausen lui succède[1].
Honneur
- Chevalier de l'ordre de Saint-Hubert (Bavière).
Références
- Michel Huberty et Alain Giraud 1985, p. 208.
- Andreas Sebastian Stumpf: Geschichte des hohen Kurhauses Pfalzbayern im Grundrisse, 1804, p. 113 en Ligne
- Michel Huberty et Alain Giraud 1985, p. 256.
- Michel Huberty et Alain Giraud 1985, p. 277.
Voir aussi
Bibliographie
- Michel Huberty et Alain Giraud, L'Allemagne dynastique : Wittelsbach, t. IV, Le Perreux-sur-Marne, Alain Giraud, , 545 p. (ISBN 978-2-901138-04-4).