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Eleonora Bergman

Eleonora Bergman, nĂ©e le Ă  ƁódĆș[1] est une historienne de l’architecture polonaise et directrice de l’Institut historique juif Ă  Varsovie dans les annĂ©es 2007-2011.

Eleonora Bergman
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Biographie
Naissance
Nationalité
Formation
FacultĂ© d'architecture de l'École polytechnique de Varsovie (d)
Université de Varsovie
Activités
Autres informations
Distinction

Biographie

Elle est nĂ©e dans une famille juive, fille de Stefan Bergman (1904-2000) et Aleksandra Bergman, nĂ©e Kuczkowska (1906-2005), et sƓur de Zofia Bergman-Zarębska (1934-2013), biologiste et maĂźtre de confĂ©rences Ă  l’Institut de biochimie et biophysique de l’AcadĂ©mie polonaise des sciences.

DiplĂŽmĂ©e d’architecture Ă  l’École polytechnique de Varsovie, elle travaillait Ă  l’Institut d’Urbanisme et d’AmĂ©nagement du Territoire (Instytut Urbanistyki i Architektury (pl)) et ensuite dans les Ateliers de Conservation et Restauration du Patrimoine. Elle a coopĂ©rĂ© avec l’Institut de l’Art de l’AcadĂ©mie polonaise des sciences en faisant des mesures des monuments historiques dans des plusieurs rĂ©gions de Pologne. Elle est auteur et co-auteur de nombreuses recherches en histoire et en urbanisme pour les plans d’amĂ©nagement urbain, avant tout en Mazovie et en SilĂ©sie.

Depuis le milieu des annĂ©es 1980, elle s’occupe du patrimoine culturel juif. En 1997, elle a obtenu un doctorat en sciences humaines dans le domaine de l’histoire Ă  l’Institut de l’Histoire de l’art de l’UniversitĂ© de Varsovie pour une thĂšse: Orient w architekturze synagog na ziemiach polskich w XIX i na początku XX wieku. Elle Ă©tait bĂ©nĂ©ficiaire d’une bourse du Centre international d’études pour la conservation et la restauration des biens culturels Ă  Rome et les deux fois du Memorial Foundation for Jewish Culture Ă  New York. Depuis 1991, elle travaille Ă  l’Institut historique juif dont elle Ă©tait la directrice dans les annĂ©es 2007-2011. Elle est co-auteur du projet des mĂ©moriaux du mur du ghetto de Varsovie[2].

Elle est membre du Conseil de la Fondation Auschwitz, et Ă  partir du , du Conseil pour la Protection de la MĂ©moire du Combat et du Martyre.

Le , elle reçoit le Croix de chevalier de la LĂ©gion d’honneur[3].

Publications

  • „Nie masz bĂłĆŒnicy powszechnej” Synagogi i domy modlitwy w Warszawie od koƄca XVIII do początku XXI wieku (Wyd. DiG, 2007)
  • Nurt mauretaƄski w architekturze synagog Europy ƚrodkowo-Wschodniej w XIX i na początku XX wieku (Wyd. Neriton, 2004)
  • Survey of historic Jewish monuments in Poland: report to the United Stated Commission for the prese, avec Jan Jagielski et Phyllis Myers (World Monuments Fund, 1995)
  • Zachowane synagogi i domy modlitwy w Polsce: le catalogue, avec Jan Jagielski (Ć»ydowski Instytut Historyczny, 1996)

Références

  1. « Eleonora Bergman », sur www.beta.architektura.warszawa.sarp.org.pl (consulté le )
  2. « Wyborcza.pl », sur warszawa.wyborcza.pl (consulté le ).
  3. Legia Honorowa dla Eleonory Bergman. „Stolica”, s. 5, 11/2012.

Liens externes

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