Concours de procès simulé en droit international Charles Rousseau
Le Concours Charles-Rousseau est un concours francophone de procès-simulé en droit international, créé en 1985. Le Concours est ouvert aux universitaires d’établissements d’enseignement supérieur de tous pays et destiné à développer la connaissance et la maîtrise du droit international public. Chaque année, entre 150 et 200 personnes de toutes les régions du monde se retrouvent à l’occasion des épreuves orales du Concours : équipes d’étudiants et leurs instructeurs venant participer, universitaires, professeurs et praticiens exerçant les fonctions de jury.
Création | 1985 |
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Organisateur(s) | Réseau francophone de droit international (RFDI) |
Type / Format | Droit international public |
Lieu(x) | Le Concours est hébergé par une université différente chaque printemps |
Épreuves | Épreuves de qualification et épreuves finales |
Site web officiel | http://www.rfdi.net/presentation-du-concours-charles-rousseau/ |
Le Concours Charles-Rousseau a acquis une grande renommée dans les milieux spécialisés eu égard au niveau élevé des exigences scientifiques. Il connaît un grand succès auprès des étudiants, non seulement par l’esprit d’émulation qu’il induit, mais aussi par ses vertus pédagogiques[1] - [2] - [3] - [4] - [5]. Le Concours est l’un des procès-simulés les plus prestigieux en droit international et l’une des compétitions de procès-simulé reconnues par les Nations unies[6]. Le Rousseau est l’un des Concours de procès-simulé les plus prestigieux en droit international et est considéré comme l’équivalent francophone du concours de procès-simulé Jessup[6] - [7]. Le Concours a notamment pu compter sur le soutien de juges ayant œuvré dans divers tribunaux internationaux, dont la Cour Internationale de Justice et d’anciens tribunaux pénaux internationaux.
Plus de cent institutions de 36 pays différents y ont participé : Algérie, Allemagne, Argentine, Belgique, Bénin, Brésil, Bulgarie, Burkina Faso, Burundi, Cameroun, Canada, Chili, Colombie, Congo, Côte-d’Ivoire, Égypte, États-Unis d’Amérique, France, Grèce, Hongrie, Liban, Maroc, Moldavie, République Démocratique du Congo, République tchèque, Roumanie, Royaume-Uni, Russie, Rwanda, Sénégal, Suisse, Tchad, Togo, Tunisie, Ukraine, Venezuela[8] - [9] - [10] - [11] - [12] - [13] - [14] - [15] - [16] - [17] - [18].
Origines du Concours Charles Rousseau
Le Concours Rousseau est organisé sous l’égide du Réseau francophone de droit international (RFDI). Le concours a été fondé en 1985 par Daniel Turp, professeur à l’Université de Montréal et internationaliste réputé auquel se sont joints les professeurs Éric David, Pierre Klein et Daniel Dormoy, ce dernier ayant pris l’initiative de la création du RFDI[7]. Le Concours bénéficie de l’appui de plusieurs sociétés savantes et sociétés nationales de droit international, dont la Société belge de droit international, la Société française pour le droit international et la Société québécoise de droit international. Le RFDI a également reçu le Prix Édouard-Bonnefous de l’Institut de France en 2014[19], prix utilisé afin d’appuyer financièrement les délégations en provenance d’Universités du Sud ou de l’Est.
Le RFDI a pour objectif de promouvoir l’étude et la recherche francophones en droit international, notamment par l’organisation du Concours Charles-Rousseau, et de rencontres et colloques scientifiques internationaux. Il collabore ou a collaboré avec de nombreuses autres institutions attachées au monde universitaire et à la Francophonie. Le RFDI est dirigé par un Bureau et dispose également d’un conseil d’administration et d’un conseil d’orientation[20].
L’intitulé du Concours vise à honorer la mémoire du professeur de droit international public Charles Rousseau ayant notamment dirigé l’Institut d’études politiques de Paris, œuvré en tant qu’agent devant la Cour internationale de justice et été directeur de la Revue générale de droit international public. Il est l’auteur de nombreuses publications de droit international public dont un traité publié en cinq volumes (1971-1983) et il a prononcé de nombreuses conférences, notamment à l’Académie de droit international de La Haye[21].
Le Concours se tient annuellement au printemps dans une ville différente. Depuis sa création, il a eu lieu 3 fois à Sherbrooke, 1 fois à Lyon, 5 fois à Bruxelles, 3 fois à Montréal, 4 fois à Genève, 3 fois à La Haye, 2 fois à Québec, 4 fois à Paris, 3 fois à Tunis, 1 fois à Kiel-Hambourg, 1 fois à Beyrouth, 1 fois à Clermont-Ferrand, 1 fois à Bucarest, 1 fois à Sceaux, 1 fois à La Havane, 1 fois à Cotonou, 1 fois à Angers, 1 fois à Brest, 1 fois à Strasbourg. En 2021, le Concours Rousseau s’est déroulé en ligne en raison des restrictions liées à la Covid-19.
Fonctionnement du concours
Le Concours Rousseau porte chaque année sur un cas fictif se déroulant devant une juridiction internationale telle que la Cour internationale de Justice, l’Organisation internationale du travail, le Tribunal international du droit de la mer ou l’Organe de règlement des différends de l’Organisation mondiale du commerce[22] - [23]. La phase orale du Concours est précédée d’un colloque portant sur les thèmes principaux du cas fictif[24] - [25] - [26] - [27]. Les équipes s’y affrontent autour d’un cas fictif, pour lequel elles doivent présenter leurs mémoires puis plaider devant des spécialistes du droit international.
La phase préliminaire du Concours est la phase écrite, les équipes participantes doivent soumettre un mémoire pour chacune des deux parties au différend. Ensuite, la phase orale du Concours Rousseau se déroule en deux temps. Premièrement, les équipes participantes doivent se qualifier lors des joutes pré-éliminatoires ou épreuves de qualification. Lors de ces épreuves, chaque institution participante présente normalement deux équipes de deux plaideurs, défendant chacune une des deux Parties au différend. Deuxièmement, les huit équipes ayant récolté le plus de points lors des épreuves de qualification accéderont aux épreuves finales du Concours Rousseau. Lors des épreuves finales (quarts de finale, demi-finales et finale), chaque équipe se compose de deux à quatre plaideurs représentant l’une ou l’autre des parties au différend. Confrontés à un cas pratique complexe et proche de la réalité, les étudiants doivent entreprendre des recherches approfondies sur de nombreux problèmes juridiques. En outre, les plaidoiries, loin de se limiter à un simple exercice d’éloquence, obligent les étudiants à assurer une maîtrise sans faille du droit international, car ils sont généralement soumis à cette occasion à un jeu de questions savantes sur les divers aspects de la matière par un jury de professeurs et d’experts.
Prix et palmarès des équipes gagnantes
Le Concours Rousseau offre l’occasion aux équipes participantes et aux plaideurs de remporter de nombreux prix dont :
- Le prix Charles Rousseau de la meilleure équipe
- Le Prix Katia Boustany de l’équipe finaliste
- Le prix Henri Rolin des meilleures observations écrites
- Le prix du meilleur plaideur lors de la finale
- Les prix des quarts-de-finalistes
- Le palmarès des meilleurs plaideurs lors des épreuves éliminatoires
Année | Lieux de la compétition et institution hôte | Organe juridictionnel | Prix Charles Rousseau (Meilleure équipe) | Prix Katia Boustany
(Équipe finaliste) |
Prix Henri Rolin (Meilleures observations écrites)
|
Prix Jacques Yvan Morin
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2023 | Longueuil
(Université de Sherbrooke) |
Cour internationale de justice | ||||
2022 | Brest
(Université de Bretagne occidentale) |
Cour internationale de justice | Aix Marseille Université | Université de Sherbrooke | CY Cergy Paris Université | Arzouma Zongo (Université libre de Bruxelles) |
2021 | Édition en ligne en raison de la Covid-19 | Cour internationale de justice | Université Paris Nanterre | Université d’Aix Marseille | Université d’Angers | Lucile Jay-Robert (Aix-Marseille Université) et Lucas Dal Molin (Université Paris Nanterre) |
2020 | Devait être organisée à Hammamet
(phase orale annulée en raison de la Covid-19) |
Cour internationale de justice | N/A | N/A | Université Libre de Bruxelles | N/A |
2019 | Strasbourg
(Université de Strasbourg) |
Groupe spécial de l’Organisation Mondiale du Commerce | Université du Québec à Montréal | Université de Strasbourg | Université Libre de Bruxelles | Iliana Soenens (Université de Strasbourg) et André-Philippe Ouellet (Université du Québec à Montréal) (ex aequo) |
2018 | Angers
(Université d’Angers) |
Tribunal international du droit de la mer | Université Aix Marseille | Université Libre de Bruxelles | Université Libre de Bruxelles | Marianne Chagnon (Université libre de Bruxelles) |
2017 | Cotonou
|
Cour internationale de justice | Université de Sherbrooke | Université libre de Bruxelles | Université Paris 2 Panthéon-Assas | Vanessa Ntaganda (Université de Montréal) |
2016 | Cuba
|
Cour internationale de justice | Université fédérale de Minas Gerais | Institut des hautes études internationales et du développement | Université libre de Bruxelles | Peter Tzeng (Université Yale) |
2015 | Sceau
(Université Paris-Saclay par l’Université Paris-Sud et l’Université de Versailles Saint-Quentin-en-Yvelines) |
Cour internationale de justice | Université de Strasbourg | Université Laval | Université Paris 2 Panthéon-Assas | Guillaume B. Beaumier (Université Laval) |
2014 | Longueuil
(Université de Sherbrooke) |
Tribunal arbitral | Université d’Ottawa, section Common Law | Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne | Université Paris 2 Panthéon-Assas | Marie-Pier Dupont (Université d’Ottawa, section Common Law) |
2013 | Bucarest
(Université de Bucarest) |
Cour internationale de justice | Université de Montréal | Université nationale Académie Mohyla de Kiev | Université Paris-Sud 11 | Maksym Popovych (Université nationale Académie Mohyla de Kiev) |
2012 | Clermont-Ferrand
|
Centre international pour le règlement des différends relatifs aux investissements | Université du Québec à Montréal | Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne | Université Paris Ouest Nanterre la Défense | Johannie Dallaire (Université du Québec à Montréal) |
2011 | Beyrouth
(Université Antonine et de l’Université la Sagesse) |
Cour internationale de justice | Université Aix-Marseille III | Université Laval | Université Paris 2 Panthéon-Assas | William St-Michel (Université Laval) |
2010 | Montréal
(Université du Québec à Montréal) |
Groupe spécial de l’Organisation Mondiale du Commerce | Université Laval | Université de Montréal | Université Laval et Université Paris 2 Panthéon-Assas (ex æquo) | Laurence Brunet-Baldwin (Université d’Ottawa, section Common Law) |
2009 | Bruxelles (Université libre de Bruxelles) | Cour internationale de justice | Université McGill | Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne | Université libre de Bruxelles | Magali De Vinck (Université libre de Bruxelles) |
2008 | Tunis (Université Tunis el Manar) | Cour pénale internationale | Institut des hautes études internationales et du développement | Université Laval | Institut des hautes études internationales et du développement | Marie Vander Elst (Université libre de Bruxelles) |
2007 | Paris (Université Paris-Sud 11) | Groupe spécial de l’Organisation Mondiale du Commerce | Université du Québec à Montréal | Université de Potsdam | Université Paris-Sud 11 | Edith Weemaels (Université libre de Bruxelles) |
2006 | Tunis (Université Tunis el Manar) | Cour internationale de justice | Université du Québec à Montréal | Université Paris-Sud 11 | Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne | Anna Weglowska (Université libre de Bruxelles) |
2005 | Québec (Université Laval) | Tribunal arbitral | Université du Québec à Montréal | Université libre de Bruxelles | Université du Québec à Montréal | Valérie Scott (Université du Québec à Montréal) |
2004 | Genève
(Institut universitaire de hautes études internationales de Genève IUHEI) |
Cour internationale de justice | Université Paris-Sud 11 | Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne | Université libre de Bruxelles | Elodie Tranchez (Université Aix-Marseille III) |
2003 | Paris
(Université Paris-Sud 11) |
Cour internationale de justice | Université libre de Bruxelles | Université McGill | Université Paris-Sud 11 | Andra-Diana Chiriac (Université de Bucarest) et Jérôme Lussier (Université McGill) (ex æquo) |
2002 | Québec
(McGill et Société québécoise de droit international) |
Cour pénale internationale | Université libre de Bruxelles et Université McGill (ex æquo) | Équipes ex-aequo | Université McGill | Jean-François Peyronnard (Université McGill) |
2001 | Bruxelles-La Haye
(Université libre de Bruxelles et Cour internationale de justice) |
Cour internationale de justice | Université libre de Bruxelles | Université McGill | Université McGill | Diane Sheinberg (Université libre de Bruxelles) et prix spécial du jury à Antoine Motulsky (Université McGill) |
2000 | Kiel-Hambourg (Tribunal international du droit de la Mer et Université de Kiel) | Tribunal international du droit de la mer | Université McGill | Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne | Université Paris Ouest Nanterre la Défense | Nicolas Burniat (Université libre de Bruxelles) |
1999 | Genève (Organisation internationale du travail et Université de Genève) | Commission d’enquête de l’Organisation Internationale du Travail | Université McGill | Université Paris-Sud 11 | Université Paris Ouest Nanterre la Défense | Nadia Lakhdari (Université McGill) |
1998 | Tunis
(Université de Tunis III) |
Centre international pour le règlement des différends relatifs aux investissements | Université libre de Bruxelles | Université Paris Ouest Nanterre la Défense | Université de Bourgogne (Dijon) | Julie Dutry (Université libre de Bruxelles) |
1997 | Paris
(Université Paris-Sud 11) |
Cour internationale de justice | Université libre de Bruxelles | UQAM | Université McGill | Farid Dahmane (Université Libre de Bruxelles) |
1996 | Bruxelles—La Haye (Université libre de Bruxelles et Cour internationale de justice) | Cour internationale de justice | Université McGill
|
Université libre de Bruxelles | Université libre de Bruxelles et Université McGill (ex æquo) | Patrick Ferland (Université McGill) |
1995 | Genève
(Université de Genève) |
Cour internationale de justice | Université libre de Bruxelles | Université McGill | Université libre de Bruxelles | Laurence Weerts (Université Libre de Bruxelles) |
1994 | Sherbrooke
(Université de Sherbrooke) |
Cour internationale de justice | Université libre de Bruxelles | Institut universitaire de hautes études internationales de Genève (IUHEI) | Université libre de Bruxelles | Luca Falomo (Université libre de Bruxelles) |
1993 | Bruxelles
(Université libre de Bruxelles) |
Cour internationale de justice | Université libre de Bruxelles | Université du Québec à Montréal | Université libre de Bruxelles | André Carbonneau (Université du Québec à Montréal) |
1992 | Paris (Université de Paris) | Cour internationale de justice | Université libre de Bruxelles | Université McGill | Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne et Université libre de Bruxelles (ex æquo) | Barbara Delcourt (Université libre de Bruxelles) |
1991 | Québec (Université Laval) | Cour internationale de justice | Université McGill | Université libre de Bruxelles | Université libre de Bruxelles | Hélène Gagnon (Université McGill) |
1990 | La Haye (Cour internationale de justice) | Banque internationale pour le commerce | Université libre de Bruxelles | Université McGill | Université Libre de Bruxelles | Olivier Paye (Université libre de Bruxelles) |
1989 | Genève (Université de Genève) | Cour internationale de justice | Université libre de Bruxelles | Institut universitaire de hautes études internationales de Genève (IUHEI) | Université libre de Bruxelles | (Université de Genève/ Institut universitaire de hautes études internationales de Genève (IUHEI)
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1988 | Montréal (Université de Montréal) | Cour internationale de justice | Katholieke Universiteit Leuven | Université McGill | Katholieke Universiteit Leuven | Pierre Cartuyvels (Katholieke Universiteit Leuven) |
1987 | Bruxelles (Université libre de Bruxelles) | Cour internationale de justice | Université libre de Bruxelles | Université McGill | Université McGill | Anne Poutrain (Université libre de Bruxelles) |
1986 | Lyon (Université de Lyon III) | Cour internationale de justice | Université McGill | Université Paris Ouest Nanterre la Défense (Paris 10 Nanterre) | Université libre de Bruxelles | Nicola Bonucci (Université Paris Ouest Nanterre la Défense) |
1985 | Sherbrooke (Université de Sherbrooke) | Cour internationale de justice | Université libre de Bruxelles | Université de Montréal | Université libre de Bruxelles | Colette Vandeveld (Université libre de Bruxelles)
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Personnalités marquantes
Le comité d’honneur du RFDI comprend notamment les professeurs Émérites Daniel Dormoy, Daniel Turp et Éric David ainsi que Gilbert Guillaume, ancien Président de la Cour internationale de Justice, Claude Jorda, ancien Président du TPIY, Juge à la Cour pénale internationale, François Rousseau, ancien Chef adjoint de la division des relations extérieures, Organisation de Coopération et de Développement Économique (OCDE)[28].
Anciens juges
De nombreuses personnalités du monde juridique ont en outre officié en tant que juge du Concours, notamment Ronny Abraham, ancien juge de la Cour internationale de justice, François Alabrune, le directeur des affaires juridiques au ministère français des Affaires étrangères, Jules Deschênes ancien juge au TPIY, Pierre Pescatore, ancien juge à la Cour de Justice des Communautés européennes et Ion Gâlea, juge à la Cour de justice de l’Union européenne ainsi que Charles Rousseau lui-même lors des premières éditions du Concours[7].
Anciens plaideurs
Le RFDI tient à jour un annuaire des anciens plaideurs et des anciens encadreurs sur son site internet.
Notes et références
- « Concours Charles-Rousseau - 30e édition à Montréal », sur Sfdi (consulté le )
- France 3, « Brest : les étudiants en droit concourent dans un procès international fictif »,
- Le petit juriste, « Paris Nanterre remporte le Concours international Charles Rousseau »
- « Concours Charles-Rousseau de procès simulé en droit international - Département des sciences juridiques - UQAM », sur Département des sciences juridiques (consulté le )
- Association des étudiants en droit international de Nanterre, « Concours Charles Rousseau »
- Médiathèque de droit international des Nations Unies, « Concours de procès-simulé en droit international Charles-Rousseau », sur legal.un.org (consulté le )
- Pierre Klein, « Remonter le fil de l’historique du Concours Rousseau. Un entretien avec Daniel Turp », Revue québécoise de droit international, (lire en ligne)
- « Résultat du concours Charles-Rousseau de plaidoirie en droit international », sur L'Orient-Le Jour, (consulté le )
- « L'UdeM remporte le concours de procès-simulé Charles-Rousseau », sur AUF (consulté le )
- « Concours de Procès Simulé en Droit International Charles-Rousseau – Νομική Σχολή | Αριστοτέλειο Πανεπιστήμιο Θεσσαλονίκης », sur law.auth.gr (consulté le )
- « Association Concours Charles Rousseau-Paris 2 », sur Université Paris-Panthéon-Assas (consulté le )
- Faculté de Common Law - Université d'Ottawa, « Concours simulé de droit international Charles Rousseau »
- Chanael, « Le Concours Charles Rousseau : Une expérience intense et inoubliable ! », sur Centre de droit international, (consulté le )
- Clinique de droit international pénal et humanitaire de l'Université Laval, « Concours Charles Rousseau »
- « Le concours francophone de droit international Charles Rousseau », sur drept.unibuc.ro (consulté le )
- (pt-BR) « Concours Charles Rousseau – Rede Francófona » (consulté le )
- « McGill remporte le Concours Charles Rousseau », sur www.droit-inc.com (consulté le )
- (de) Ullrike Schiller, « Concours Rousseau », sur www.uni-potsdam.de (consulté le )
- Arnaud, « Le prix Edouard Bonnefous est décerné au Concours Rousseau et au Réseau francophone de droit international! », sur Centre de droit international, (consulté le )
- « Instances », sur Réseau francophone de droit international (consulté le )
- Société française pour le droit international, « Charles Rousseau »
- « Toutes les éditions », sur Réseau francophone de droit international (consulté le )
- « Le classement des universités au concours Charles Rousseau », sur www.droit-inc.com (consulté le )
- « 17ème colloque annuel du Réseau Francophone de Droit International », sur univ-droit.fr : Portail Universitaire du droit (consulté le )
- « Concours de procès-simulé en droit international Charles-Rousseau | Université de Bretagne Occidentale », sur nouveau.univ-brest.fr (consulté le )
- « Colloque d'ouverture du Concours Rousseau - Le droit international et les nouveaux visages de la piraterie », sur Sfdi (consulté le )
- Daniel Turp, « DEUXIÈME COLLOQUE INTERNATIONAL DU RFDI L’EAU DOUCE DANS UNE PERSPECTIVE GLOBALE : DROITS FONDAMENTAUX, RESPECT DE L’ENVIRONNEMENT ET LIBERTE COMMERCIALE », Revue québécoise de droit international, (lire en ligne)
- « Comité d'honneur », sur Réseau francophone de droit international (consulté le )