Comté de Tweed
Le comté de Tweed (en anglais : Tweed Shire) est une zone d'administration locale située dans l'État de Nouvelle-Galles du Sud en Australie. Son siège administratif est Murwillumbah.
Comté de Tweed | |
Localisation de la zone d'administration locale. | |
Administration | |
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Pays | Australie |
État ou Territoire | Nouvelle-Galles du Sud |
Région | Rivières du Nord |
Nom du Conseil | Conseil du comté de Tweed |
Siège du Conseil | Murwillumbah |
Maire | Chris Cherry |
DĂ©mographie | |
Population | 91 371 hab. (2016) |
Densité | 69 hab./km2 |
GĂ©ographie | |
Coordonnées | 28° 20′ sud, 153° 23′ est |
Superficie | 132 100 ha = 1 321 km2 |
Liens | |
Site web | http://www.tweed.nsw.gov.au |
GĂ©ographie
Le comté s'étend sur un territoire de 1 321 km2 arrosé par la Tweed, dans la région des Rivières du Nord, à l'extrémité nord-est de la Nouvelle-Galles du Sud et limitrophe du Queensland. Il est bordé par la mer de Corail et traversé par la Pacific Highway.
Murwillumbah abrite le siège administratif du comté et Tweed Heads en est la ville la plus peuplée.
Histoire
La région de l'embouchure de la Tweed est explorée par John Oxley en 1823. L'officier britannique Henry John Rous poursuit l'exploration du cours de la rivière sur 50 km en amont en 1828, année où les premiers colons s'installent dans la région. L'exploitation du cèdre rouge, destiné à l'exportation vers la Grande-Bretagne assure la prospérité de la région.
La municipalité de Murwillumbah est créée le 25 mai 1902, cependant que le comté de la Tweed (Shire of Tweed), avec son principal noyau de population à Tumbulgum sur la Tweed, voit le jour le 7 mars 1906. Le , les deux collectivités fusionnent pour former le comté actuel[1].
En , le conseil du comté est dissous par le gouverneur de Nouvelle-Galles du Sud en raison d'accusations de trafic d'influence en lien avec des promoteurs immobiliers[2].
Références
- (en) The Shire of Tweed, Murwillumbah Historical Society sur la Wayback Machine
- (en) « Council sacked after property corruption probe », sur The Sydney Morning Herald,
Lien externe
- (en) Site officiel